Customize this title in frenchAlternatives à l’App Store sur iPhone : le patron de Spotify tire contre les projets d’Apple

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Apple se conforme aux exigences de l’UE et annonce des changements en profondeur. Des magasins d’applications alternatifs, des navigateurs et de nouveaux modes de paiement devraient être possibles à l’avenir.

L’App Store perd son exclusivité en tant que seul marché d’applications iOS au sein de l’UE. (Source : alexeynovikov / depositphotos.com)

  • Apple annonce des changements majeurs pour les utilisateurs de l’UE.
  • À l’avenir, les applications pourront être téléchargées à partir de marchés d’applications alternatifs.
  • Les navigateurs tiers bénéficient d’une plus grande liberté de conception.

Le géant de la technologie Apple est accusé depuis un certain temps déjà d’avoir une position de monopole. L’Union européenne a donc inscrit l’entreprise de Cupertino sur la liste des « gatekeepers » et a, dans la foulée, fixé de nouvelles règles avec le Digital Markets Act (DMA). Cela suscite une grande incompréhension de la part d’Apple, c’est pourquoi l’entreprise a officiellement déposé l’année dernière une plainte auprès de la Cour de justice européenne contre la décision de la Commission européenne.

Apple semble désormais se plier aux directives du Digital Markets Act (DMA) et a annoncé des changements importants. Pour la première fois, les utilisateurs de l’UE pourront télécharger des applications iOS à partir de marchés d’applications alternatifs. À l’avenir, le navigateur par défaut de l’iPhone pourra également être défini librement.

Magasins d’applications alternatifs

Le changement le plus important pour les utilisateurs de l’UE est probablement la possibilité de télécharger des applications sur iPhone depuis l’App Store. Avec la mise à jour iOS 17.4 prévue en mars, Apple autorise pour la première fois les magasins d’applications alternatifs. Bien qu’Apple réponde aux pressions de l’UE, elle continue de souligner dans son communiqué de presse que les changements profonds augmentent le risque de sécurité pour les utilisateurs et « ouvrent de nouvelles opportunités pour les logiciels malveillants, la fraude et les tentatives de fraude, les contenus illégaux et préjudiciables et autres ». menaces pour la protection et la sécurité des données ».

En réponse aux nouvelles directives de l’UE et à l’éventuel exode des développeurs qui en résulterait, Apple a également ajusté son modèle de commission pour tous les biens et services de l’App Store, passant de 15 ou 30 pour cent d’origine à 10 ou 17 pour cent. Si les développeurs continuent de traiter leurs paiements via l’App Store, des frais supplémentaires de trois pour cent s’appliqueront. Cependant, à l’avenir, les développeurs pourront également choisir d’autres prestataires de services de paiement ou se référer à leur propre site Web pour que les paiements soient traités en dehors d’Apple.

Cependant, les grandes entreprises ne sont pas nécessairement satisfaites de ces changements. Apple facture désormais également des frais si une application est installée pour la première fois plus d’un million de fois par an. Chaque première installation supplémentaire coûte alors 50 centimes. Après les douze mois, tout recommence. Cela pourrait coûter cher aux entreprises à l’origine d’applications ou de jeux de streaming très populaires. Le patron de Spotify, Daniel Ek, a publié son mécontentement dans un article de blog.

Il craint que le forfait de 50 centimes n’augmente les coûts pour les entreprises malgré la réduction des commissions. Spotify compte environ 100 000 millions d’installations d’applications dans l’UE, rien que sur l’App Store.

Apple a le contrôle

Afin de ne pas perdre complètement le contrôle, Apple a déjà annoncé à l’avance que tous les magasins d’applications alternatifs devaient se soumettre à un processus d’examen approfondi pour vérifier leur stabilité, leur sécurité et leurs dangers possibles. Selon Apple, ils doivent recevoir une « authentification » et un certificat Apple afin d’être approuvés pour la distribution et, à terme, répondre aux normes de qualité d’Apple.

Les navigateurs tiers deviennent indépendants

Les navigateurs tiers tels que Chrome, Edge et Firefox devaient auparavant utiliser Apple Webkit pour pouvoir être utilisables sur les iPhones. Il s’agit d’un logiciel pré-construit par Apple qui spécifie les fonctions de base du navigateur. Avec la prochaine mise à jour iOS 17.4 en mars, les fournisseurs tiers de l’UE pourront à l’avenir utiliser d’autres moteurs de navigation comme cadre de base.

De plus, avec la mise à jour prévue, les utilisateurs de l’UE seront invités à sélectionner leur futur navigateur par défaut dans une liste. Même s’il a toujours été possible d’utiliser des navigateurs tiers, certaines fonctions de commande sont toujours exécutées par défaut via le navigateur Safari d’Apple. Cela devrait également changer à l’avenir.

La réglementation européenne entre en vigueur en mars

Officiellement, les lignes directrices de l’UE en vertu de la loi sur les marchés numériques (DMA) devraient entrer en vigueur le 7 mars. Les utilisateurs peuvent désormais télécharger et installer une version préliminaire d’iOS 17.4. Intéressant : l’ouverture n’aura apparemment lieu dans un premier temps que sur iPhone ; ce changement n’existe pas sur iPadOS.

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