Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 words
Les gens sont en colère contre le gouvernement du président Vučić et ses liens étroits avec les tabloïds qui, selon eux, incitent à la haine et encouragent la violence.
Des milliers de personnes se sont rassemblées samedi dans le centre de Belgrade pour la marche « Serbie contre la violence ».
C’était la huitième semaine consécutive de manifestations dans la capitale du pays et cette fois étendues à 20 autres villes.
Celles-ci comprenaient les prochaines plus grandes villes de Serbie, Novi Sad et Kragujevac, et dans les petites villes de Kraljevo, Subotica, Vranje, Sabac et Leskovac.
Les manifestants, dont des membres de certains partis d’opposition, appellent à la démission du président Aleksandar Vučić, ainsi que de hauts représentants des médias, des forces de police et des services de sécurité.
Les détracteurs du président l’accusent d’autoritarisme et affirment que les tabloïds dont son gouvernement est proche incitent à la haine et encouragent la violence. Les manifestants veulent également la fin des émissions de télé-réalité.
Que s’est-il passé en mai ?
Un nombre croissant de villes se joignent aux manifestations, déclenchées par une vague d’indignation suite à deux fusillades début mai qui ont fait 19 morts.
Le 3 mai, un élève de 13 ans d’une école de Belgrade a abattu neuf camarades de classe et un agent de sécurité. Moins de 48 heures plus tard, un jeune de 21 ans a tué neuf personnes dans une ville du centre de la Serbie.
Les manifestants réclament la responsabilité du gouvernement et la démission du ministre de l’Intérieur et du directeur de l’Agence de l’information et de la sécurité.
L’opposition a rejeté une offre de dialogue de Vučić ainsi que des élections anticipées.