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L’Union européenne a ouvert des enquêtes sur Apple, Meta et Google dans le cadre de ses premières enquêtes sur le « non-respect » de la nouvelle loi sur les marchés numériques (DMA) du bloc des 27 pays, qui pourraient entraîner de lourdes amendes pour les entreprises.
À propos de la nouvelle loi
Les enquêtes seront menées après l’entrée en vigueur, le 7 mars, d’une nouvelle loi radicale sur la concurrence numérique. La loi vise à empêcher les grandes entreprises technologiques, y compris celles des États-Unis, d’accaparer les marchés numériques, tout en facilitant la mobilité des utilisateurs. services en ligne concurrents, comme les plateformes de médias sociaux et les navigateurs.
« Nous ne sommes pas convaincus que les solutions d’Alphabet (la société mère de Google), d’Apple et de Meta respectent leurs obligations en faveur d’un espace numérique plus juste et plus ouvert pour les citoyens et les entreprises européens », a déclaré le commissaire européen au marché intérieur, Thierry Breton.
La violation de la loi pourrait conduire la Commission européenne, l’organe exécutif du bloc, à imposer des amendes allant jusqu’à 10 pour cent du chiffre d’affaires mondial total d’une entreprise et à l’augmenter à 20 pour cent pour les récidivistes.
Enquête de l’UE
L’enquête de l’UE intervient après que les entreprises technologiques ont assuré avoir déployé des milliers d’ingénieurs pour répondre à l’exigence du DMA de six « gardiens » afin de donner plus de choix aux utilisateurs et aux concurrents.
Mais les régulateurs européens ne sont pas convaincus. Margrethe Vestager, responsable antitrust de l’UE, a déclaré qu’elle estimait que les trois sociétés ne se conformaient pas pleinement aux solutions qu’elles avaient proposées la semaine dernière.
Il a également été demandé lundi aux responsables de l’UE s’ils précipitaient le processus deux semaines seulement après la promulgation de la loi, ce à quoi Breton a répondu que les enquêtes ne devraient pas être une surprise.
« La loi est la loi. Nous ne pouvons pas simplement rester assis et attendre », a-t-il déclaré, cité par Reuters.
Pourquoi ces trois sociétés ?
Les responsables de l’UE ont fait part de leurs inquiétudes quant aux contraintes que les entreprises technologiques imposent à la capacité des développeurs à communiquer et à promouvoir leurs offres auprès des utilisateurs.
La branche exécutive du bloc vérifiera également les modifications apportées par Google à ses résultats de recherche en Europe puisque, selon la nouvelle règle, il ne peut pas donner sa propre préférence de service par rapport aux services similaires proposés par ses concurrents.
De même, pour voir si Apple respecte les obligations de permettre aux utilisateurs de désinstaller facilement des applications logicielles sur son système d’exploitation iOS et de modifier les paramètres par défaut sur iOS.
Il vérifiera également si Apple impose des limitations qui empêchent les développeurs d’applications d’informer les utilisateurs sur des alternatives en dehors de son propre App Store qui peuvent être gratuites.
Pendant ce temps, Breton a déclaré que Meta devrait proposer des options alternatives gratuites. Cela survient après que la société mère d’Instagram et de Facebook a introduit l’année dernière un service d’abonnement sans publicité en Europe, ce qui a suscité des critiques de la part de ses concurrents et des utilisateurs.
(Avec la contribution des agences)