Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 words
New York accueille pendant six jours l’Assemblée générale de l’ONU avec certains dirigeants mondiaux, dont Rishi Sunak et Emmanuel Macron, notables par leur absence.
Pendant deux ans, c’était la pandémie du coronavirus. Ensuite, il y a eu la guerre de la Russie en Ukraine. Tout au long de cette période, les dangers du changement climatique, de la pauvreté et des inégalités ont constamment et de plus en plus résonné à chaque réunion des dirigeants mondiaux à l’Assemblée générale des Nations Unies.
À l’heure où s’ouvre la 78e session, aucune crise claire ne dominera le débat général, car aucune de celles mentionnées ci-dessus n’a été résolue. La réunion de haut niveau se déroulera dans le contexte d’une guerre en cours, de nouvelles crises politiques en Afrique de l’Ouest et en Amérique latine, d’un coronavirus persistant, d’une instabilité économique, d’un creusement des inégalités et de nouvelles catastrophes naturelles sous la forme de tremblements de terre, d’inondations et d’incendies dévastateurs.
Reconstruire la confiance
Face à ce tumulte, le thème du débat général de cette année sera « Reconstruire la confiance et raviver la solidarité mondiale : accélérer l’action sur l’Agenda 2030 et ses objectifs de développement durable en faveur de la paix, de la prospérité, du progrès et de la durabilité pour tous ».
Les chefs d’État et de gouvernement d’au moins 145 pays devraient prendre place sur l’estrade au bord du fleuve. Parmi eux figurent le président brésilien Luiz Inácio Lula da Silva, le président américain Joe Biden et le président ukrainien Volodymyr Zelenskyy, tous attendus le premier jour. Ce sera la première apparition en personne de Zelensky aux Nations Unies depuis l’invasion russe de son pays – en 2022, l’Assemblée générale a voté pour lui accorder une dispense spéciale pour soumettre un discours préenregistré.
Absences clés
Mais le défilé des intervenants sera marqué par quelques absences majeures : alors qu’ils envoient tous des représentants, les dirigeants des autres membres permanents du Conseil de sécurité de l’ONU – la France, le Royaume-Uni, la Chine et la Russie – ne feront pas le déplacement. La présence de Vladimir Poutine aurait certainement été surprenante, mais Emmanuel Macron est un habitué et cela aurait été la première occasion pour le Premier ministre britannique Rishi Sunak de s’adresser à l’Assemblée générale. Macron a cité la visite imminente du roi Charles III ; Sunak, un emploi du temps chargé.
Les principaux dirigeants d’autres grands pays, dont l’Inde – qui vient d’accueillir le sommet du G20 à New Delhi ce mois-ci – et le Mexique, devraient également envoyer des ministres à leur place à la réunion de six jours.