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Au moins 15 civils ont été tués et deux autres blessés lors d’une attaque « terroriste » contre une église catholique pendant la messe dominicale dans le nord du Burkina Faso, a déclaré un haut responsable de l’église.
« Nous attirons votre attention sur une attaque terroriste dont la communauté catholique du village d’Essakane a été victime aujourd’hui 25 février alors qu’elle était rassemblée pour la prière dominicale », a déclaré le vicaire du diocèse de Dori, Jean-Pierre Sawadogo, dans un communiqué. envoyé à l’AFP.
Le bilan provisoire s’élève à 15 tués et deux blessés, a-t-il ajouté.
Appelant à la paix et à la sécurité au Burkina Faso, Sawadogo a dénoncé « ceux qui continuent de semer la mort et la désolation dans notre pays ».
Ce n’est que la dernière d’une série d’atrocités imputées aux groupes djihadistes actifs dans la région, dont certains ont pris pour cible des églises chrétiennes tandis que d’autres ont impliqué l’enlèvement de membres du clergé.
Le Burkina Faso fait partie de la vaste région du Sahel, engagée dans une lutte contre la montée de l’extrémisme violent depuis la guerre civile en Libye en 2011, suivie par la prise de contrôle du nord du Mali par les islamistes en 2012.
L’insurrection djihadiste s’est étendue au Burkina Faso et au Niger à partir de 2015.
Lorsque le capitaine Ibrahim Traoré a pris le pouvoir en 2022, il s’agissait du deuxième coup d’État dans le pays en moins d’un an, tous deux déclenchés en partie par le mécontentement face à l’incapacité du gouvernement à réprimer la violence jihadiste.
Au Burkina Faso, environ 20 000 personnes ont été tuées dans ces violences, tandis que plus de deux millions ont été déplacées.