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La juge de district américaine Adrienne Nelson a prévu une audience le 26 août pour examiner la demande d’injonction préliminaire de la Federal Trade Commission contre l’acquisition par Kroger d’Albertsons, un rival plus petit, pour 24,6 milliards de dollars.
La plainte déposée par la FTC le mois dernier vise à bloquer l’accord, qui permettrait de créer un conglomérat de supermarchés comptant plus de 4 000 magasins.
Selon la FTC, cette fusion pourrait potentiellement entraîner une augmentation des prix des produits alimentaires pour des millions de consommateurs américains, suscitant les inquiétudes des législateurs et des groupes de défense des consommateurs.
Kroger, le deuxième acteur du marché alimentaire américain derrière Walmart, reste déterminé à défendre la fusion devant les tribunaux malgré les contestations judiciaires.
Le PDG de Kroger, Rodney McMullen, a réitéré la position de l’entreprise, soulignant sa conviction que la fusion représente le meilleur résultat pour les familles américaines.
Cependant, tant que les problèmes juridiques ne seront pas résolus, les sociétés ne pourront pas procéder à l’acquisition.
La FTC, aux côtés de huit États, s’est opposée à la fusion, arguant qu’elle étoufferait la concurrence entre Kroger et Albertsons.
L’accent mis par l’administration Biden sur la baisse des prix des produits alimentaires et sa réticence à l’égard de fusions à grande échelle susceptibles d’entraîner des hausses de prix ont intensifié l’examen minutieux de cet accord.
La FTC affirme que la fusion, annoncée en octobre 2022, pourrait potentiellement éliminer une concurrence importante dans le secteur de l’épicerie.
En réponse aux préoccupations soulevées par les régulateurs, Kroger a proposé de céder 413 magasins et huit centres de distribution à C&S Wholesale Grocers.
En outre, la société a indiqué qu’elle pourrait avoir besoin de supprimer 237 magasins supplémentaires pour obtenir l’approbation réglementaire.
Cependant, la FTC a jugé la proposition de désinvestissement de Kroger insuffisante, ce qui complique encore davantage le processus de fusion.
Kroger a défendu son modèle économique, soulignant son historique de réduction des prix chaque année depuis 2003.
La société affirme que cette stratégie sera étendue à l’entité fusionnée, garantissant ainsi aux consommateurs un prix abordable sur le marché de l’épicerie.
Indépendamment de ces assurances, la FTC reste sceptique quant aux impacts potentiels de la fusion sur la concurrence et les prix à la consommation.
(Avec les contributions de Reuters)