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Maroš Šefčovič, le commissaire slovaque nommé pour superviser le Green Deal, fait face mardi à une interrogation au Parlement au sujet de son portefeuille élargi.
Šefčovič – un membre senior du collège d’Ursula von der Leyen connu comme une paire de mains stables à Bruxelles – a été choisi pour reprendre les fonctions de l’ancien commissaire néerlandais Frans Timmermans en tant que vice-président exécutif, y compris la supervision du déploiement du Green Deal européen, le mois dernier.
Dans le cadre du remaniement, la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a également décidé de scinder la partie action climatique du portefeuille et a nommé l’ancien ministre néerlandais des Finances Wopke Hoekstra au poste de commissaire à l’action climatique, un poste « sous la direction » de Šefčovič.
Membre des sociaux-démocrates de centre-gauche, Šefčovič est candidat au poste de direction des Verts à un moment périlleux pour la politique climatique de l’UE. Les efforts de l’UE visant à réduire les gaz à effet de serre se heurtent à une résistance croissante alors que les inquiétudes grandissent quant aux coûts pour les entreprises et aux interventions dans la vie quotidienne.
S’adressant à POLITICO le mois dernier, Šefčovič a souligné la nécessité de « réagir à certaines inquiétudes », mais a insisté sur son intention de défendre les efforts du bloc.
L’interrogatoire parlementaire du haut responsable intervient quelques jours seulement après que le parti de gauche Smer auquel il appartient a remporté les élections nationales en Slovaquie. Les résultats ont sonné l’alarme dans toute l’Europe puisque le leader populiste pro-russe controversé du parti, Robert Fico, s’est engagé à mettre fin aux livraisons d’armes à l’Ukraine et s’est opposé aux sanctions contre Moscou.
Même si le Parlement n’a qu’un rôle consultatif dans la nomination des commissaires et n’a pas le pouvoir de rejeter purement et simplement les candidats, il peut demander une deuxième audition embarrassante pour les candidats – et la Commission est obligée de prendre en compte son avis final.