Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 words Publié le: 20/05/2023 – 09:20Modifié: 20/05/2023 – 09:19 Djeddah (Arabie saoudite) (AFP) – Un homme est vénéré dans les capitales occidentales pour avoir résisté à l’invasion à grande échelle de son pays par la Russie. L’autre est largement vilipendé pour les atrocités commises contre son propre peuple dans une guerre qui l’a rendu dépendant de Moscou.Lors du sommet de la Ligue arabe vendredi, l’hôte, l’Arabie saoudite, a amené le président ukrainien Volodymyr Zelensky et son homologue syrien Bachar al-Assad dans la même salle de conférence sur la côte de la mer Rouge – un signe puissant des ambitions diplomatiques mondiales du royaume.Les analystes disent que l’improbable rassemblement à Djeddah semblait conçu pour mettre en évidence l’influence du prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane, qui il y a moins de cinq ans était lui-même dans la niche internationale pour le meurtre du critique saoudien Jamal Khashoggi. »Un objectif majeur des dirigeants saoudiens est de dépeindre le prince héritier comme une figure essentielle dans le paysage géopolitique en évolution », a déclaré Kristian Ulrichsen, chercheur à l’Institut Baker de l’Université Rice.La guerre en Ukraine a « définitivement mis fin » à l’isolement post-Khashoggi du prince Mohammed, a-t-il ajouté, et les Saoudiens « cherchent maintenant à démontrer qu’ils peuvent combler des lacunes que d’autres ne peuvent espérer ».Bien que les réunions de vendredi n’aient abouti à aucun accord révolutionnaire immédiat, Riyad peut s’attribuer le mérite d’un événement sans heurts au cours duquel les tensions résultant de la présence d’Assad et de Zelensky ont été dissimulées, du moins pour la journée.« Consensus » sur la Syrie ?L’arrivée d’Assad sur le sol saoudien est intervenue après une longue accumulation: les ministres des Affaires étrangères des deux pays avaient échangé des visites ces dernières semaines et rendu public leurs plans de réouverture des missions diplomatiques fermées en 2012, lorsque Riyad a rompu les liens alors que la guerre en Syrie s’intensifiait.L’étreinte régionale plus large remonte à au moins 2018, lorsque les Émirats arabes unis ont rétabli leurs liens avec Damas et ont mené la charge de la réhabilitation d’Assad.Pourtant, des inquiétudes subsistaient quant à la manière dont Assad serait reçu vendredi, compte tenu des réserves de certains dirigeants arabes quant à son retour dans le giron.
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