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Les retombées ont commencé en juillet dernier après que le président Poutine a ordonné le rachat « temporaire » de Carlsberg, mettant ainsi fin à son accord de licence avec Baltika.
La société russe Baltika Breweries poursuit quatre filiales de Carlsberg en justice pour réclamer des dommages et intérêts d’une valeur de 6,24 milliards de couronnes danoises (837 millions d’euros), selon Reuters.
Des détails ont été révélés dans des dossiers judiciaires à Saint-Pétersbourg qui citent Carlsberg Sverige, Carlsberg Deutschland, Carlsberg Breweries et sa filiale russe Hoppy Union comme défendeurs, a indiqué l’agence de presse.
Les tensions entre les deux parties ont commencé en juillet dernier, lorsque Moscou a repris la participation de Carlsberg dans Baltika, sous les ordres du président Poutine et à la suite de l’invasion de l’Ukraine par la Russie. Des sanctions contre la Russie ont été mises en place par l’UE et d’autres pays du monde, notamment les États-Unis et le Royaume-Uni.
Le rachat a été décrit comme une « gestion temporaire », mais le PDG du groupe Carlsberg, Jacob Aarup-Andersen, n’est pas d’accord, affirmant que les activités de l’entreprise avaient été « volées ».
Aucun signe de résolution dans un avenir proche
Carlsberg a depuis déclaré qu’il prendrait toutes les mesures possibles pour protéger les employés, les actifs et les opérations en Russie.
Baltika et Carlsberg sont engagés dans un différend concernant les licences. Carlsberg a déclaré à Baltika qu’il mettait fin à un accord commun qui signifiait que Baltika ne pouvait plus produire, commercialiser ou vendre des produits du groupe Carlsberg.
En réponse, Baltika a intenté une action en justice contre Carlsberg et un tribunal de Saint-Pétersbourg en décembre dernier a donné raison à Baltika, affirmant que les renonciations unilatérales de Carlsberg aux licences pour produire et vendre certaines marques de bière étaient « invalidées », avait alors rapporté l’agence de presse Interfax.
Carlsberg a riposté en utilisant une unité au Kazakhstan pour faire appel le mois dernier contre l’interdiction de vendre la marque de bière Baltika sur certains marchés internationaux.
Ni Carlsberg ni Baltika n’ont commenté les derniers rapports.
Carlsberg n’est pas la seule entreprise européenne à avoir récemment enfreint les règles russes. La Russie a également pris le contrôle d’une filiale du yaourtier français Danone, toujours présente dans le pays après l’invasion de l’Ukraine.