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Le président américain Joe Biden, lors d’une conversation avec le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, l’a assuré de l’état de non-ingérence de Washington dans les affaires intérieures d’Israël, ont déclaré à la publication Axios deux sources proches du dossier.
Le dialogue s’est déroulé dans un contexte d’inquiétudes croissantes au sein du camp de Netanyahu concernant les tentatives perçues de l’administration Biden de saper son leadership.
Le malaise du Premier ministre israélien à l’égard de Biden s’est accru à la suite de la visite à Washington du ministre Benny Gantz, un rival politique clé.
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Le président Biden a également remis en question l’efficacité de la politique de Netanyahu pour Israël lors d’une interview sur MSNBC.
De plus, la publication de l’évaluation annuelle des services de renseignement américains, jetant le doute sur l’avenir politique de Netanyahu, a encore accru ses inquiétudes.
Le facteur Chuck Schumer
Les frictions se sont intensifiées avec les critiques du chef de la majorité au Sénat, Chuck Schumer, à l’égard de la gouvernance de Netanyahu, qui plaidait pour de nouvelles élections en Israël. Biden s’est ensuite aligné sur la position de Schumer.
Le parti Likoud de Netanyahu a dénoncé avec véhémence toute ingérence extérieure dans le paysage politique israélien.
« Israël n’est pas une république bananière mais une démocratie indépendante et fière qui a élu le Premier ministre Netanyahu », a déclaré le parti Likoud au pouvoir dans un communiqué, tout en accusant Schumer de saper un gouvernement démocratiquement élu.
Des sondages clés en Israël suggèrent un soutien croissant aux élections anticipées dans le pays, un avantage potentiel pour Benny Gantz sur le Premier ministre Netanyahu.
Les critiques de Netanyahu l’accusent de prolonger le conflit à Gaza à des fins politiques personnelles, une affirmation réfutée avec véhémence par le Premier ministre israélien.
Au cours de la conversation de lundi 18 mars, Netanyahu a exprimé ses inquiétudes concernant les remarques de Schumer et le soutien apparent de Biden, les dénonçant comme une ingérence injustifiée. Biden, en réponse, a réitéré l’engagement de son administration en faveur de la non-ingérence, cherchant à rassurer Netanyahu sur ses intentions.
Tensions autour du plan d’assaut de Netanyahu sur Rafah
Pendant ce temps, Netanyahu a déclaré aux législateurs mardi 19 mars qu’il avait fait savoir « de manière extrêmement claire » au président américain « que nous sommes déterminés à achever l’élimination de ces bataillons à Rafah, et qu’il n’y a aucun moyen d’y parvenir sauf en y entrant ». par terre ».
Netanyahu a régulièrement parlé d’une attaque contre Rafah, où environ un million de Palestiniens déplacés vivent dans un camp, mais les États-Unis ont exclu tout soutien au plan d’attaque de Rafah de Netanyahu, qui, selon le Premier ministre israélien, est nécessaire pour décimer le Hamas.
(Avec la contribution des agences)