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Arrêter le crime et assurer la sécurité des personnes n’est pas seulement la priorité absolue de la police, mais tout ce qui compte. C’est un énorme défi qui ne laisse aucune place aux distractions telles que des campagnes politiquement correctes ou dire aux gens de ne pas écrire de tweets désagréables.
Tout ce que fait la police doit être au service de la majorité respectueuse des lois.
Bien que l’enregistrement des incidents de haine non criminels puisse aider à identifier les tensions communautaires et à prévenir des dommages importants ou de futures infractions, il est toujours essentiel que nous protégions le droit fondamental à la liberté d’expression.
Le nouveau code de déontologie, examiné et approuvé par le Parlement, ordonne à la police de n’enregistrer des données personnelles dans des dossiers d’incidents haineux non criminels que lorsque cela est absolument nécessaire et proportionné.
Par exemple, si quelqu’un sur Twitter exprime son point de vue sur le sexe biologique par rapport au genre auto-identifié, une autre personne peut s’offenser et même aller jusqu’à le signaler à la police.
La police doit pouvoir juger qu’il ne s’agit que d’une personne exerçant sa liberté d’expression et que toute perception d’hostilité envers une autre personne est irrationnelle.
En bref : offenser quelqu’un n’est pas une infraction criminelle, et cela ne justifie pas non plus l’enregistrement d’un incident de haine non criminel.
Toutes les forces à travers l’Angleterre et le Pays de Galles suivront un processus standardisé qui indique clairement quand, comment et si les incidents haineux non criminels doivent être enregistrés.
Une plus grande clarté entraînera probablement une diminution considérable du nombre d’enregistrements d’incidents haineux non criminels.
Les agents auront l’obligation légale de suivre le code de pratique et toutes les forces recevront un briefing sur les nouvelles règles du College of Policing.
Le gouvernement a réussi à recruter bien au-delà des 20 000 policiers supplémentaires que nous avions promis d’ici la fin mars.
Le Beating Crime Plan se concentre sans relâche sur la réduction de la violence grave, des homicides et des crimes de quartier.
La police est mieux protégée et dispose de plus grands pouvoirs, notamment grâce à l’expansion des contrôles et des fouilles et en permettant aux constables spéciaux de porter des Tasers. Les forces ont promis d’envoyer un officier à chaque cambriolage domestique.
Nous avons un nouveau plan d’action complet pour réprimer les comportements antisociaux et nous veillons à ce que les partenaires de la santé prodiguent des soins aux personnes en crise de santé mentale, plutôt qu’aux policiers.
Je continuerai à faire tout mon possible pour réduire tous les fardeaux inutiles qui empêchent la police de lutter contre le crime et d’assurer la sécurité de la majorité respectueuse des lois.