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Le commissaire européen au Marché unique, Thierry Breton, a exprimé mardi (9 avril) son soutien à la Charte solaire européenne, un nouveau document conçu pour renforcer le soutien aux fabricants solaires nationaux.
Les panneaux solaires sont devenus indispensables à la transition énergétique de l’Europe : en 2023, l’UE a installé 56 GW de panneaux solaires. Pourtant, face à la concurrence étrangère, les constructeurs européens dépérissent.
Le meilleur allié de l’industrie ces jours-ci s’annonce comme étant le commissaire au Marché unique, Thierry Breton, qui a déclaré à un groupe de législateurs européens que l’Europe « a besoin d’une politique commerciale qui accorde plus d’attention aux distorsions, en particulier celles causées par la Chine ».
Soulignant sa préférence pour les produits fabriqués en Europe, Breton a confirmé que l’UE signerait la Charte solaire – un document engageant les pays de l’UE et la Commission à soutenir les producteurs nationaux – lundi prochain (15 avril).
Une vingtaine de ministres européens de l’énergie signeront le document – qui fait écho à une démonstration similaire de soutien à l’industrie éolienne en décembre 2023 – en marge d’une réunion informelle consacrée à l’avenir énergétique de l’Europe.
La charte, consultée par Euractiv, souligne la nécessité d’une « chaîne de valeur solaire européenne résiliente, durable et compétitive » et demande aux pays de l’UE de soutenir les nouvelles usines solaires et d’aider à maintenir celles actuelles.
Il demande également aux pays de l’UE de limiter les enchères et les marchés publics pour les projets solaires, qui peuvent se vanter de critères autres que le prix, comme la « conduite responsable des entreprises ». Ces critères sont codifiés dans la loi sur l’industrie nette zéro, sur laquelle les législateurs voteront le 23 avril avant d’entrer en vigueur plus tard cette année.
La Commission est invitée à organiser un soutien supplémentaire de la part de la Banque européenne d’investissement et à examiner si les projets solaires désignés pourraient contourner les règles en matière d’aides d’État.
La charte demande au Berlaymont « d’évaluer toutes les preuves de pratiques déloyales présumées avancées par l’industrie ou provenant d’autres sources indépendantes ». Une proposition qui devrait probablement être soutenue par Breton, qui a annoncé la semaine dernière une enquête sur deux sociétés solaires chinoises.
« La Charte solaire de l’UE sera aussi forte que l’action qu’elle inspire », a déclaré Dries Acke, directeur politique de l’association industrielle SolarPower Europe, ajoutant que l’industrie « a besoin de mesures concrètes pour soutenir rapidement les fabricants, notamment via des systèmes de primes de résilience pour l’énergie solaire photovoltaïque sur les toits. comme discuté en Allemagne et en Autriche.
[Edited by Donagh Cagney/Alice Taylor]