Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 words
La Commission européenne a déclaré mercredi que si les prix de l’énergie devaient à nouveau flamber, toutes les mesures de soutien déployées devraient « viser à protéger les ménages et les entreprises vulnérables ».
La Commission européenne a appelé mercredi les gouvernements de l’Union européenne à mettre fin à leurs mesures de soutien des prix de l’énergie d’ici la fin de cette année.
Cela est nécessaire pour qu’ils restent en ligne avec les règles budgétaires, selon l’exécutif de l’UE.
Suite à l’invasion à grande échelle de l’Ukraine par la Russie, les gouvernements de l’UE ont dépensé beaucoup d’argent pour atténuer les effets de la hausse des coûts de l’énergie.
Mais Bruxelles affirme désormais que les mesures de soutien, si elles sont encore nécessaires, devraient viser à protéger les ménages et les entreprises vulnérables.
« La principale mesure est la fin des mesures universelles de soutien à l’énergie. C’est là, je pense, que vous pouvez avoir plus de marge de manœuvre », a déclaré aux journalistes Paolo Gentiloni, commissaire européen à l’économie, ajoutant que « bien sûr, nous n’entrons pas trop sur les politiques fiscales des différents États membres ».
Les règles budgétaires ont été suspendues pendant la pandémie de COVID-19, mais cette suspension doit expirer en 2024.
Une révision des règles est en cours de discussion, mais il y a toujours un débat ouvert sur la manière de protéger les investissements tout en réduisant la dette et le déficit.
Le commissaire Gentiloni affirme que les signaux sont positifs.
« Malgré le fait que nous avons un niveau d’endettement en baisse, un niveau de déficit en baisse par rapport au PIB et que nous devons avoir des politiques budgétaires plus prudentes, nous n’entrons pas dans la boucle que nous avions lors des crises précédentes de réduction progressive du niveau des investissements publics, » il a dit.
Dans le même temps, l’exécutif de l’UE avertit déjà que le critère de déficit n’est pas rempli par 14 pays – la France, l’Allemagne, l’Italie, la Lettonie, la Hongrie, Malte, la Pologne, la Belgique, la Bulgarie, la Tchéquie, l’Estonie, l’Espagne, la Slovénie et la Slovaquie – tandis que le critère de la dette n’est pas rempli par trois : l’Italie, la France et la Finlande.
La Commission proposera au Conseil d’ouvrir l’année prochaine des procédures de déficit excessif qui pourraient éventuellement conduire à des sanctions financières à l’encontre de ceux qui ne respectent pas les règles.