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Un responsable canadien nommé par le Premier ministre Justin Trudeau pour enquêter sur les accusations d’ingérence chinoise dans les deux dernières élections canadiennes a démissionné vendredi. L’ancien homme d’État a déposé des documents après la réaction du parti d’opposition à propos de sa nomination.
L’ancien gouverneur général David Johnston a récemment publié un rapport provisoire concluant que Pékin avait tenté de s’ingérer dans les élections canadiennes de 2019 et 2021, mais n’avait pas réussi à modifier le résultat des votes. Il allait commencer à entendre le mois prochain des témoignages de communautés de la diaspora ciblées ainsi que d’experts en sécurité nationale et en relations internationales. Il devait remettre un rapport final en octobre.
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Cependant, les partis d’opposition l’ont accusé d’être trop proche de Trudeau. Ils ont demandé une enquête publique indépendante à la place.
« Lorsque j’ai entrepris la tâche de rapporteur spécial indépendant sur l’ingérence étrangère, mon objectif était d’aider à renforcer la confiance dans nos institutions démocratiques », a déclaré Johnston dans sa lettre de démission.
« J’en ai conclu qu’étant donné l’atmosphère hautement partisane autour de ma nomination et de mon travail, mon leadership a eu l’effet inverse. »
La prétendue ingérence chinoise
Le gouvernement minoritaire dirigé par Trudeau avait subi des pressions pour expliquer l’ingérence présumée de la Chine dans les élections canadiennes. Les allégations ont d’abord été rapportées par les médias locaux. Ces rapports citent des documents de renseignement divulgués et des sources anonymes qui ont déclaré que la Chine cherchait à influencer ou à renverser les élections.
Les accusations rapportées comprenaient des dons de campagne secrets et des agents chinois travaillant pour des candidats ou des législateurs canadiens dans le but d’influencer la politique.
Après la nomination de Johnston, trois législateurs de l’opposition ont déclaré que l’agence d’espionnage du Canada leur avait dit qu’ils avaient été la cible d’ingérence chinoise.
Récemment, il est apparu que la Chine avait cherché à intimider un législateur canadien et ses proches à Hong Kong en raison de ses critiques de la Chine.
Le mois dernier, Ottawa a expulsé un diplomate chinois impliqué dans le stratagème.
La Chine dément
La Chine avait qualifié les accusations de « sans fondement » et avait réagi en expulsant un diplomate canadien. Il avait averti le Canada que s’aligner sur la politique des États-Unis à l’égard de la Chine risquait de compromettre sa relation avec son deuxième partenaire commercial.
Dans ses conclusions préliminaires, Johnston a noté que les techniques courantes d’ingérence étrangère comprenaient les cyberattaques, les campagnes d’influence en ligne, la désinformation et « l’exploitation des relations humaines ».
Il a également identifié des lacunes dans la façon dont les renseignements sont partagés au sein du gouvernement.
Mais il a rejeté les appels à une enquête publique – conseil que Trudeau a accepté – citant « la sensibilité de l’intelligence » en jeu.
Johnston a déclaré que sa démission serait effective au plus tard fin juin.
Les relations sino-canadiennes sont devenues glaciales à la fin de 2018 lorsque la police canadienne a arrêté un dirigeant chinois des télécommunications. Peu de temps après, Pékin a arrêté deux Canadiens accusés d’espionnage.
Tous trois ont été libérés en 2021.
(Avec les contributions des agences)
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