Customize this title in frenchCanada : la police arrête 5 personnes d’origine indienne pour extorsion et infractions liées aux armes à feu visant des entreprises sud-asiatiques

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Cinq personnes d’origine indienne ont été arrêtées par la police canadienne sous des accusations d’incidents tels que « méfaits contre la propriété, menaces et infractions liées aux armes à feu ». Les trois hommes et deux femmes accusés par les autorités chargées de l’extorsion de Peel en collaboration avec la Police provinciale de l’Ontario auraient pris pour cible le milieu des affaires sud-asiatique de la région du Grand Toronto. Le 24 janvier 2024, le Groupe de travail d’enquête sur l’extorsion de la police régionale de Peel (EITF) a exécuté un mandat de perquisition dans une résidence de la ville de Brampton et a arrêté quatre personnes.

Il comprend Gagan Ajit Singh, 23 ans, de Brampton, Anmoldeep Singh, 23 ans, de Mississauga, Hashmeet Kaur, 25 ans, de Brampton, et Iymanjot Kaur, 21 ans, de Brampton.

Gagan Ajit Singh a été accusé de deux cas « d’extorsion, de profération de menaces de mort, de décharge d’armes à feu intentionnellement, d’incendie criminel causant des dommages matériels, de possession non autorisée d’une arme à feu, de possession d’un dispositif interdit, de possession d’une arme à feu sachant que sa possession n’est pas autorisée ». , possession d’une arme à feu prohibée ou à autorisation restreinte avec fraude aux munitions de plus de 5 000 $.

Pendant ce temps, Anmoldeep Singh a été accusé de plusieurs infractions liées aux armes à feu et d’une fraude de plus de 5 000 $. Les autres ont également été accusés de délits liés aux armes à feu. La cinquième personne inculpée est Arundeep Thind, 39 ans. Selon les autorités policières, Thind n’a pas d’adresse fixe et est accusé de délit d’extorsion.

Le groupe de travail sur l’extorsion aurait été créé en réponse à une augmentation du nombre de rapports émanant de propriétaires d’entreprises sud-asiatiques faisant état de menaces de violence s’ils ne se conformaient pas à leurs demandes monétaires.

La surintendante Shelley Thompson, qui supervise l’unité du groupe de travail, a révélé que les entreprises ciblées englobaient divers secteurs tels que les restaurants, les boulangeries, les concessionnaires de voitures d’occasion et les entreprises de camionnage, tous appartenant à des personnes d’origine sud-asiatique.

Par ailleurs, lors d’une conférence de presse, il a également révélé que 24 accusations avaient été portées concernant 29 tentatives d’extorsion. Le mode opératoire impliquait de contacter les propriétaires via des appels téléphoniques, des plateformes de réseaux sociaux ou des services d’appel vidéo comme WhatsApp.

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Les agresseurs demandaient toujours des espèces ou des transferts d’argent en dollars canadiens ou en roupies indiennes. Bien qu’aucun blessé n’ait été signalé dans le cadre de ces tentatives d’extorsion, neuf cas impliquaient des coups de feu dirigés contre des entreprises inoccupées. L’enquête a également révélé des tentatives d’extorsion similaires dans d’autres villes canadiennes comme Edmonton et le Lower Mainland de la Colombie-Britannique, ainsi que dans diverses juridictions aux États-Unis.

(Avec la contribution des agences)

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