Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 wordsLahore est devenue la dernière mégapole à fermer ses portes pollution étouffe des pans entiers de l’Asie du Sud, où près de 50 millions de personnes respirent de l’air toxique depuis près d’une semaine.du Pakistan La deuxième ville la plus peuplée – de plus de 13 millions d’habitants – a fermé des écoles et des parcs publics, des centres commerciaux et des bureaux après que l’indice de qualité de l’air (IQA) ait atteint cette semaine plus de 400, selon IQAir. Ce chiffre est considéré comme « dangereux » par la société suisse de suivi aérien.Les autorités de la province pakistanaise du Pendjab ont imposé une « urgence environnementale et sanitaire » dans trois villes – Gujranwala et Hafizabad en plus de Lahore – jusqu’à ce que la situation s’améliore, a déclaré cette semaine son ministre en chef Mohsin Naqvi. Les trois villes réunies comptent plus de 15 millions d’habitants.Les navetteurs empruntent le pont Signature, dans un contexte de smog intense à New Delhi, le 9 novembre. (Getty) »Il y aura un mouvement limité de personnes vers et depuis ces zones par les transports publics et privés », a indiqué mardi un communiqué du bureau de Naqvi.Le gouvernement de Naqvi a également restreint le rassemblement de plus de quatre personnes au même endroit.Le pic de pollution au Pakistan survient après que l’Inde voisine a vu du smog recouvrir sa capitale New Delhi la semaine dernière, alors que les températures plus froides emprisonnaient les particules de pollution, créant une brume toxique qui atteignait des niveaux dangereux.Traditionnellement, vers la fin de l’année, après la récolte d’hiver, des millions d’agriculteurs débarrassent leurs restes de chaume de riz en allumant les champs pour préparer la récolte de blé à venir. Ceci, combiné à la pollution automobile et industrielle, a créé d’importantes quantités de smog dans les États du nord de l’Inde : Haryana, Pendjab, Uttar Pradesh et New Delhi.Les navetteurs circulent le long des voies ferrées dans des conditions de smog à Lahore le 7 novembre. (Getty)La Cour suprême indienne a ordonné cette semaine aux autorités des États entourant New Delhi d’empêcher les agriculteurs de brûler les restes de leurs récoltes, tout en interdisant l’utilisation de pétards dans tout le pays à l’approche du festival de Diwali ce week-end.Le tribunal a rendu des ordonnances similaires au fil des ans, avec un effet minime.D’autres grandes villes indiennes, dont Calcutta et Mumbai, se sont également classées cette semaine sur la liste IQAir des 20 villes les plus polluées au monde, avec des niveaux de pollution oscillant entre « dangereux » et « malsains ».Les autorités locales se sont empressées de mettre en œuvre des mesures pour réduire la pollution, depuis l’interdiction des véhicules sur les routes, l’arrosage des trottoirs et l’interdiction des constructions non essentielles pour réduire la poussière.Dhaka, la capitale du Bangladesh, qui compte plus de 10 millions d’habitants, figure également sur la liste des villes les plus polluées d’IQAir, avec un IQA qui a atteint 222 vendredi, un chiffre considéré comme « très malsain » selon la compagnie. .Les navetteurs traversent une rue animée dans un contexte de smog à Lahore le 7 novembre. (Getty)Les niveaux de PM2,5 dans toutes ces villes dépassent de loin la limite fixée par l’Organisation mondiale de la santé et illustrent une préoccupation croissante pour les pays d’Asie du Sud, confrontés à une industrialisation rapide et à un boom démographique qui alimentent les niveaux de pollution.Les particules PM 2,5 comprennent des polluants tels que les sulfates, les nitrates et le carbone noir, auxquels l’exposition peut altérer les fonctions cognitives et immunitaires des personnes. Ils sont également liés à des troubles pulmonaires et cardiaques.Les groupes environnementaux et les décideurs politiques réclament depuis longtemps des solutions plus efficaces pour gérer la croissance démographique, affirmant que les mesures actuelles telles que la restriction des transports et l’arrêt de la construction n’ont que peu d’effet à long terme.Les effets de la dégradation de l’air sont déjà visibles dans certaines régions de l’Inde.Le temple d’Akshardham est vu au milieu d’un fort smog à New Delhi le 9 novembre. (Getty)Selon une étude réalisée en 2021 par l’Energy Policy Institute de l’Université de Chicago (EPIC), le mauvais air pourrait réduire l’espérance de vie des habitants de Delhi jusqu’à neuf ans.L’étude a également révélé que chacun des 1,4 milliard d’habitants de l’Inde subit des niveaux de pollution annuels moyens qui dépassent les directives fixées par l’Organisation mondiale de la santé.Les médecins de la capitale indienne affirment avoir constaté une augmentation des maladies liées à la pollution, les patients se plaignant notamment de toux, d’irritation de la gorge, d’essoufflement et de problèmes de peau.
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