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© Reuter. PHOTO DE DOSSIER : Le bâtiment de la Réserve fédérale américaine à Washington, DC/File Photo

LONDRES (Reuters) – Cette semaine aura de quoi occuper les traders et les investisseurs des marchés financiers, notamment la question de savoir si la Réserve fédérale a réellement atteint ses taux directeurs, une nouvelle hausse possible des taux en Australie, une série de bénéfices des banques européennes et la poursuite du conflit à Gaza.

Voici votre introduction de la semaine par Marc Jones et Dhara Ranasinghe à Londres, Kevin Buckland à Tokyo, Tom Westbrook à Singapour et Lewis Krauskopf à New York.

1/Grands projets

Après avoir fait monter les taux d’intérêt jusqu’au sommet de la colline, les investisseurs se demandent maintenant si les grands ducs du monde des banques centrales – la Fed, la BCE, la BoE et autres – pourraient bientôt les faire baisser à nouveau.

Prenez la BCE : alors que l’inflation dans la zone euro diminue rapidement et que l’économie se dirige vers la stagnation ou la récession, les marchés monétaires voient désormais des baisses de taux commencer en avril, tandis que pour la BoE britannique, ce sera en août prochain.

L’économie américaine semble encore incroyablement robuste, mais même là, des fissures commencent à apparaître, si l’on en croit la forte contraction des données manufacturières.

Il n’est pas étonnant que les marchés voient 80 % de chances que le cycle de resserrement brutal de 20 mois de la Fed soit terminé et que les baisses de taux puissent commencer dès juin.

Cette lumière au bout du tunnel signifie que les actions mondiales viennent de connaître leur meilleure semaine de l’année jusqu’à présent. Surveillez donc attentivement pour voir si les principaux banquiers centraux s’opposent aux bavardages jusqu’à ce que l’inflation soit véritablement maîtrisée.

2/YO-YO YEN

Les traders de change ont passé des mois à observer nerveusement le yen s’approcher des 150 pour un dollar, avant de voir la Banque du Japon elle-même le pousser au-delà de la limite la semaine dernière avec un plan résolument tiède visant à démanteler son programme de relance vieux de dix ans.

Le yen a remonté immédiatement lorsque les marchés ont senti que la Fed pourrait enfin avoir atteint ses taux maximum, la semaine prochaine pourrait donc être intéressante.

Même si les inquiétudes autour d’un taux de 150 comme élément déclencheur ont sûrement été dissipées, le risque d’une intervention de la BoJ reste bien réel car la faiblesse du yen et l’actuel Premier ministre sont de plus en plus impopulaires auprès du public japonais.

Et comme tout grand banquier central vous le dira, le moment d’intervenir sur le marché des devises est juste après que le vent ait tourné et que le vent soit dans votre dos.

3/VARIATION DES RÉSULTATS La reprise des bénéfices américains, espérée par les investisseurs après un premier semestre tiède, se réalise pour l’instant, mais un certain nombre de tests majeurs restent à venir. Avec plus de 300 entreprises désormais déclarées, les bénéfices devraient augmenter de 5 % sur un an, environ 80 % des entreprises présentant des chiffres supérieurs aux prévisions. Les gros frappeurs cette semaine incluent eBay (NASDAQ 🙂 et DR Horton mardi et Walt Disney (NYSE 🙂 et Biogen (NASDAQ 🙂 mercredi. Plus tard dans le mois, les investisseurs auront l’occasion d’évaluer certains des principaux détaillants américains ainsi que le grand gagnant de la frénésie de l’IA de cette année, Nvidia (NASDAQ :).

En Europe, tout tourne autour de l’argent et du métal, avec UBS mardi, Commerzbank (ETR 🙂 et ABN Amro mercredi, le géant de l’acier Arcelor Mittal jeudi et le poids lourd de l’assurance Allianz (ETR 🙂 vendredi.

4/UN MOIS EN

Cette semaine marque le mois qui s’est écoulé depuis que l’attaque meurtrière du Hamas en Israël a déclenché la pire escalade du conflit au Moyen-Orient depuis des décennies.

Les forces israéliennes ont pénétré dans la ville de Gaza, au nord de la bande de Gaza, mais se heurtent à la résistance des militants qui attaquent avec délit de fuite depuis les tunnels souterrains. Les autorités sanitaires de Gaza affirment que le nombre de morts palestiniens dépasse désormais les 9 000.

Pour ceux qui surveillent nerveusement la situation sur les marchés financiers, il s’agit d’un moment crucial. L’or, valeur refuge, a bondi de près de 10 % depuis le début des troubles, mais la flambée initiale des prix du pétrole, déclenchée par les craintes que l’Iran ne soit entraîné dans la crise, s’est complètement apaisée et même celui d’Israël a commencé à rebondir.

Mais la situation pourrait rapidement dégénérer à nouveau. Un nombre croissant de pays appellent à une pause dans les hostilités, le Hezbollah s’agite, tandis que le secrétaire d’État américain Antony Blinken se rendra dans les prochains jours en Israël, en Jordanie et dans d’autres pays de la région pour un nouveau cycle de négociations diplomatiques.

5/ AUGMENTATION DES TARIF JOUR DE COURSE

La célèbre course hippique de la Melbourne Cup se déroulera mardi, mais les probabilités les plus faibles sont liées à une hausse des taux de la banque centrale à Sydney ce jour-là. Après un taux d’inflation plus élevé que prévu au troisième trimestre, où la mesure préférée de la RBA pour l’inflation sous-jacente a atteint 1,2 %, les marchés évaluent à près de 60 % la probabilité d’une hausse d’un quart de point. Toutes les « quatre grandes » banques australiennes prévoient également une hausse, y compris Westpac, où l’économiste en chef nouvellement installé, Luci Ellis, était jusqu’à récemment gouverneur adjoint de la RBA. En effet, les contrats à terme impliquent un risque réel que le taux au comptant de 4,1 % soit relevé deux fois pour atteindre 4,60 % et maintenu à ce niveau pendant toute l’année 2024. Les rendements des obligations d’État australiennes à trois et dix ans ont atteint leur plus haut niveau depuis 2011, bien qu’ils aient légèrement reculé. la mainmise de la Fed. Le dollar australien s’est également fortement apprécié par rapport à son homologue néo-zélandais alors que les attentes en matière de taux divergent.

(Complié par Marc Jones ; graphiques de Kripa Jayaram, Riddhima Talwani et Prinz Magtulis ; édité par Gareth Jones et Ed Osmond)

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