Customize this title in frenchCOMMENTAIRE DU COURRIER QUOTIDIEN : Une cabale louche a marqué un but contre son camp en éliminant Boris

Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 wordsCela ressemble à quelque chose tiré des pages d’un thriller politique captivant.Au fond des couloirs de Westminster, une sinistre cabale tire les ficelles du pouvoir.Avec la subtilité soyeuse d’un Machiavel des derniers jours, la clique conspire pour se mettre d’accord sur qui deviendra le chef du parti… et, une fois que cette personne a survécu à son utilité, s’en débarrasse impitoyablement.Mais ce récit de trahison et de tromperie n’est pas une œuvre de fiction farfelue.Dans son nouveau livre incendiaire, l’ancienne ministre Nadine Dorries affirme qu’un tel groupe opère au sein du Parti conservateur depuis deux décennies.Selon elle, cela a empoisonné le discours politique, déstabilisé les premiers ministres successifs et trahi la confiance accordée au parti par les électeurs. L’objectif? Pour réaliser ses propres intérêts. Avec la subtilité soyeuse d’un Machiavel des derniers jours, la clique conspire pour se mettre d’accord sur qui deviendra le chef du parti… et, une fois que cette personne a survécu à son utilité, s’en débarrasse impitoyablement. Sur la photo : l’ancien Premier ministre Boris Johnson Il est impossible de ne pas applaudir Mme Dorries (photo) pour avoir levé le rideau sur les machinations malveillantes à Westminster.Les étonnantes révélations de l’ex-député sur « le Mouvement » se trouvent dans The Plot: The Political Assassination of Boris Johnson, publié en série dans le Mail à partir d’aujourd’hui.Identifiant le ministre en série Michael Gove, l’ancien conseiller de M. Johnson Dominic Cummings et l’obscur conseiller Dougie Smith comme membres, elle accuse cette faction secrète de subvertir la démocratie.Le groupe, dit-elle, a joué un rôle déterminant dans l’installation de M. Johnson au n°10 lors de la crise conservatrice de 2019. Mais lorsqu’il a obtenu une majorité de 80 sièges aux élections de cette année-là, ils ont réalisé qu’il était devenu trop puissant. « Il était temps de le faire sortir », écrit-elle. Cela a été fait en utilisant la « magie noire » – fuites, briefings négatifs et attisation du mécontentement.Certains tenteront inévitablement de rejeter l’ex-secrétaire à la Culture en le qualifiant de théoricien du complot, contrarié d’avoir été bloqué pour une pairie.Mais il est impossible de ne pas applaudir Mme Dorries pour avoir levé le rideau sur les machinations malveillantes de Westminster. Identifiant le ministre en série Michael Gove, l’ancien conseiller de M. Johnson Dominic Cummings et l’obscur conseiller Dougie Smith comme membres, elle accuse cette faction secrète de subvertir la démocratie. Sur la photo : Dominic Cummings quitte l’enquête CovidBien que son récit puisse être controversé, il émane d’une femme qui était au centre de ces événements sismiques au moment où ils se sont produits.Quiconque écoute l’enquête Covid cette semaine aura entendu plusieurs versions du dysfonctionnement à Downing Street et à Whitehall. Compte tenu de ces affirmations sinistres, quelqu’un pourrait-il honnêtement dire que les révélations de Mme Dorries semblent invraisemblables ?Après avoir évincé l’homme qui leur a assuré une majorité écrasante, les conservateurs sont à des kilomètres derrière les travaillistes dans les sondages. Cet article ne pose donc qu’une seule question au « Mouvement » : comment se déroule le grand plan ?Manquer de respect aux mortsLe jour de l’Armistice est peut-être le jour le plus sacré du calendrier britannique.Le 11 novembre, des personnes de toutes religions – chrétiens, juifs et musulmans – s’arrêtent pour rendre hommage à ceux qui ont donné leur vie pour défendre ce pays.Le fait que des militants pro-palestiniens organisent délibérément une marche pour coïncider avec cette date solennelle est, comme le dit à juste titre Rishi Sunak, « provocateur et irrespectueux ».Même si le droit de manifester est une pierre angulaire de notre démocratie, il serait grotesque que des manifestants profanent la mémoire des morts en rompant le silence de deux minutes – ou, pire encore, en attaquant le cénotaphe. Le fait que des militants pro-palestiniens organisent délibérément une marche pour coïncider avec cette date solennelle est, comme le dit à juste titre Rishi Sunak, « provocateur et irrespectueux ». Sur la photo : le roi Charles assiste au dimanche du Souvenir l’année dernièreLa police s’est jusqu’à présent montrée honteusement réticente à sévir contre ceux qui scandaient des slogans antisémites génocidaires ou glorifiaient la terreur du Hamas. Ils doivent agir cette fois.Comme on pouvait s’y attendre, l’ancien footballeur Gary Lineker, symbole de vertu, a critiqué les ministres qui ont exhorté la police à interdire la marche.Quel contraste frappant avec les jours qui ont suivi le massacre de 1 400 Juifs par le Hamas. Alors son silence était assourdissant !Après que les dirigeants ont démissionné pour avoir « débancarisé » Nigel Farage parce qu’ils détestaient ses opinions politiques, on pourrait penser que NatWest voudrait éviter de s’inquiéter comme la peste. Apparemment non. La banque espionne les habitudes de consommation des clients, avant de leur demander de ne pas manger de viande, d’opter pour des voitures électriques ou de rafistoler leurs vieux vêtements. Établir des liens plus étroits avec les titulaires de comptes est une bonne chose. Les harceler pour qu’ils réduisent leur empreinte carbone est tout simplement sinistre.

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