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Paris Des progrès ont été réalisés dans la rédaction d’un accord international visant à réduire les déchets plastiques. Lors du deuxième cycle de négociations sur l’accord des Nations Unies sur les plastiques à Paris, près de 170 pays ont convenu de présenter un projet d’accord juridiquement contraignant d’ici la prochaine conférence au Kenya. L’ONU a annoncé samedi après la fin de la réunion.
Pour les écologistes, cela ne va pas assez loin. « En fin de compte, ils n’ont pu s’entendre que sur un compromis minimum, toutes les négociations difficiles ont de nouveau été reportées après d’innombrables manœuvres dilatoires du lobby du plastique », a déclaré Viola Wohlgemuth, experte en protection des ressources chez Greenpeace. L’Arabie saoudite, la Chine et les États-Unis en particulier, ainsi que l’industrie pétrochimique, ont tout fait pour saper un accord mondial efficace.
Selon l’ONU, la pollution plastique augmente rapidement. Sans contre-mesures, la quantité de déchets plastiques dans les océans et autres masses d’eau pourrait plus que doubler, passant d’environ 9 à 14 millions de tonnes par an en 2016 à environ 23 à 37 millions de tonnes par an d’ici 2040.
L’ONU veut donc élaborer d’ici 2024 une convention qui définira des règles et des mesures contraignantes qui affectent l’ensemble du cycle de vie du plastique. La réunion de Paris était la deuxième de cinq séries de négociations intergouvernementales en vue d’un accord mondial. Y ont participé les États membres de l’ONU, ainsi que des organisations non gouvernementales, des universitaires et des syndicats.
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