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Dans cet épisode, nous examinons la lutte acharnée entre Budapest et Bruxelles dans le contexte d’une évolution plutôt choquante qui pourrait ouvrir la voie à la présidence des réunions du Premier ministre hongrois Viktor Orbán – qui a acquis la réputation d’être le plus grand fauteur de troubles du bloc. des dirigeants de l’UE et définir l’agenda de l’UE.
Cela fait suite à la décision surprenante du président du Conseil européen, Charles Michel, de se retirer et de briguer un siège au Parlement européen.
L’animatrice Sarah Wheaton et ses collègues Barbara Moens et Hans von der Burchard se penchent sur les querelles et les affrontements que Viktor Orbán a eu avec Bruxelles au fil des ans, et sur la manière dont l’UE a tenté de jouer au jeu avec le dirigeant hongrois. Et oui, ils font également état de la tristement célèbre « pause toilettes » prise par Viktor Orbán lors du dernier sommet de l’UE en décembre, qui a ouvert la voie aux négociations d’adhésion avec l’Ukraine et la Moldavie.
Ensuite, Sarah et Nick Vinocur, rédacteur en chef de POLITICO, s’entretiennent avec le professeur Alemanno, un expert en droit européen qui a adopté une ligne dure à l’égard de la Hongrie et qui a même suggéré que Budapest soit déchue de la présidence tournante de l’UE.
Enfin, nous vous présentons le point de vue hongrois de notre invité Frank Füredi, directeur exécutif du bureau de Bruxelles du groupe de réflexion MCC, soutenu par le gouvernement hongrois.
Nous vous recommandons également d’écouter le dernier épisode de notre podcast sœur, Power Play. L’animatrice Anne McElvoy s’entretient avec le ministre letton des Affaires étrangères Krišjānis Kariņš (candidat au poste de prochain secrétaire général de l’OTAN) et obtient sa réaction à la décision choquante de Michel.
Voici le lien : Affronter la Russie : le discours de Krišjānis Kariņš pour diriger l’OTAN et défendre l’Ukraine – POLITICO.
Cet article a été mis à jour pour corriger le nom d’Alberto Alemanno.