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De nouvelles allégations ont été portées contre la Chine et son intention de traiter les données sur le coronavirus (COVID-19). Un rapport du Financial Times indique que l’une des provinces les plus peuplées du pays a supprimé les données de mortalité qui indiquaient le nombre élevé de morts causé par l’assouplissement par Pékin des réglementations Covid à la fin de l’année dernière.
Dans le rapport publié mardi 18 juillet, FT a fait référence aux statistiques publiées jeudi par la province du Zhejiang, qui montrent que le nombre de crémations dans la riche région côtière au cours du premier trimestre de l’année a bondi de 73% par rapport à l’année précédente pour atteindre 171 000.
Le montant était bien supérieur aux 99 000 et 91 000 décès signalés au cours de la même période en 2022 et 2021, respectivement. Les médias sociaux chinois étaient en effervescence à la suite du rapport de données, après quoi le Zhejiang a mis les chiffres hors ligne lundi.
Depuis le début du Covid, les experts interpellent Pékin pour ses statistiques douteuses sur la pandémie. Le premier cas connu a été signalé en Chine vers la fin de 2019, et lorsqu’il a commencé à se propager, il a été déclaré urgence de santé publique de portée internationale en janvier 2020.
Covid a fait des ravages sur l’humanité, tuant des millions de personnes. Le monde, dans une certaine mesure, est resté sceptique quant aux données provenant de Chine, car des inquiétudes ont été exprimées quant à la transparence et à l’exactitude des informations sur l’origine de Covid, le nombre de décès, etc.
La Chine et ses données Covid
Depuis le début, la Chine s’est appuyée sur des mesures strictes de Covid pour freiner la propagation du virus mortel. Lorsqu’il a révisé sa politique pandémique l’année dernière en décembre, les hôpitaux et les crématoires auraient été inondés de patients Covid, mais les autorités chinoises n’ont pas divulgué de statistiques précises qui permettraient aux experts d’estimer correctement l’impact de la propagation du virus sur la population.
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a même accusé la Chine de sous-représenter la gravité de son épidémie de coronavirus et le nombre réel de décès. Lorsque les règles de Covid ont été assouplies, les responsables de la santé chinois se sont engagés à étudier et à aider le public à accéder aux données sur les décès. Ils ont rejeté les préoccupations de sous-déclaration.
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Le South China Morning Post (SCMP) a révélé en juin que la Chine n’avait pas publié le nombre de crémations organisées l’hiver dernier dans un rapport trimestriel. Pékin a retenu un indicateur clé du nombre de morts pandémiques pendant une période où le pays a fait face à la plus grande vague de Covid.
Mais même des mois après cette promesse, le pays n’a publié aucune donnée sur les décès excédentaires, à part les données sur la crémation au niveau local, qui sont les seules statistiques accessibles au public pour suivre le nombre de morts dans le pays. Mais le rapport de juin du SCMP indique que même ces données sont problématiques.