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© Reuter. PHOTO DE DOSSIER : Le logo Daihatsu Motors est visible dans son showroom à Tokyo, au Japon, le 12 juin 2017. Photo prise le 12 juin 2017. REUTERS/Kim Kyung-Hoon/File Photo
TOKYO (Reuters) – Toyota Daihatsu Motor, la filiale de petites voitures de Motor (NYSE :), va indemniser 423 fournisseurs nationaux avec lesquels elle entretient des relations commerciales directes, ses usines au Japon restant inactives en raison d’un scandale lié à la sécurité, a déclaré lundi un porte-parole.
Le spécialiste des petites voitures a arrêté sa production au Japon jusqu’à la fin du mois prochain, a indiqué le porte-parole.
L’entreprise envisagera de dédommager ses fournisseurs en fonction des volumes d’affaires passés et travaille à évaluer l’impact de l’arrêt sur son réseau tentaculaire de fournisseurs, a-t-il ajouté.
Daihatsu a annoncé mercredi avoir interrompu les expéditions de tous ses véhicules après qu’une enquête de sécurité ait révélé des problèmes impliquant 64 modèles, dont près de deux douzaines vendus sous la marque Toyota.
L’entreprise travaillera avec ses principaux fournisseurs pour faire face aux conséquences du scandale et pourrait également aider les petits sous-traitants qui ne reçoivent pas de compensation à accéder aux fonds de soutien du ministère de l’Industrie, a ajouté le porte-parole.
Les opérations de Daihatsu à l’étranger se concentrent fortement sur l’Asie du Sud-Est. Elle a repris la production de voitures de marque Perodua dans deux usines en coentreprise qu’elle exploite avec le constructeur automobile malaisien Perodua après avoir obtenu l’autorisation réglementaire, a indiqué le porte-parole.
La société, qui appartient entièrement à Toyota, a annoncé la semaine dernière qu’elle avait repris vendredi ses expéditions depuis sa filiale indonésienne, PT Astra Daihatsu Motor.