Customize this title in frenchDépossédés et exilés : le long métrage optimiste de la Palestinienne Lina Soualem ouvre le festival du film FIFDH

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« Bye Bye Tiberias » raconte l’histoire de quatre générations de femmes palestiniennes qui ont réussi à garder leurs souvenirs vivants malgré la dépossession et l’exil.

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Pendant 10 jours, chaque année au mois de mars, Genève met en avant les droits de l’homme avec le FIFDH, un festival qui associe cinéma et débat sur les violations des droits de l’homme dans le monde.

De la Russie à la Palestine, les conflits et luttes mondiales sont innombrables et s’intensifient.

« Il n’y a rien à célébrer dans le monde en ce moment si nous parlons des droits de l’homme, mais nous sommes convaincus que la culture, et en particulier le pouvoir des images à travers le cinéma, peut faire la différence, peut apporter des histoires puissantes qui peuvent générer engagement et une envie de changer ce monde pour le mieux », explique Laura Longobardi, co-directrice éditoriale du FIFDH.

Pour l’ouverture et à l’occasion de la Journée internationale des droits des femmes, le film « Bye, Bye Tiberias » a été projeté.

Il a été présenté à la dernière Mostra de Venise et réalisé par Lina Soualem, fille de la grande actrice palestinienne Hiam Abbas.

« C’est un film sur quatre générations de femmes palestiniennes de ma famille, sur la façon dont elles ont réussi à garder vivantes leurs histoires, leurs souvenirs, malgré la dépossession et l’exil, et je pense qu’il est très important de célébrer la vie de ces femmes, leurs combats. leur esprit, leur complexité, mais aussi de valoriser leur humanité, surtout dans un contexte où les Palestiniens sont complètement déshumanisés. »

Des dizaines de films à découvrir et des débats à mener jusqu’à la clôture du festival le 17 mars.

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