Customize this title in frenchDernière chance pour le gouvernement espagnol de modifier la loi d’amnistie controversée

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La loi d’amnistie controversée visant à gracier les dirigeants séparatistes et leurs partisans pour des actions illégales survenues entre 2012 et 2023 fera l’objet d’un débat final sur son amendement au Parlement espagnol mardi.

C’est la dernière chance pour les partis au pouvoir, le Parti socialiste (PSOE/S&D) et la plateforme de gauche Sumar, ainsi que les forces séparatistes catalanes et basques, d’apporter des modifications au texte controversé, que la droite et l’extrême droite ont proposé. -l’opposition de droite considère comme inconstitutionnelle.

L’un des points les plus sensibles est l’inclusion de certains types d’actions « terroristes », a rapporté EFE, partenaire d’Euractiv.

Mardi dernier, la Commission de Justice du Parlement, où la loi est en cours d’examen pour être envoyée au Sénat, a approuvé des modifications au texte convenu par le PSOE avec le parti séparatiste de droite Ensemble pour la Catalogne (JxCat) et le parti de gauche Formation séparatiste catalane Gauche républicaine de Catalogne (ERC), dont le soutien parlementaire est essentiel pour assurer la stabilité de l’exécutif progressiste.

Les amendements et modifications du texte acceptés mardi seront insérés dans le texte final de la loi, qui sera ensuite voté au Sénat, où le Parti populaire (PP/PPE), la principale force d’opposition, dispose d’une majorité majorité et s’est engagé à le bloquer.

L’un des articles de la norme qui pourrait être modifié ce mardi est l’article 2 du texte, qui précise quels crimes sont exclus de l’application de l’amnistie.

L’article original inclus dans le projet de nouvelle loi – présenté par le PSOE en novembre dernier – excluait les infractions terroristes de l’amnistie « tant qu’il y a un jugement final » sur un cas spécifique.

Cependant, dans le texte convenu mardi dernier par le PSOE et JxCat, la référence au « jugement final » a été supprimée, et il est établi que les actes de terrorisme ayant entraîné de graves violations des droits de l’homme de manière manifeste et avec une intention directe ne sera pas gracié.

Le PP et Vox ont organisé des manifestations de masse dans les principales villes espagnoles ces derniers mois et ont annoncé qu’ils prendraient la mesure extraordinaire controversée de grâce auprès de la Cour constitutionnelle, de la Cour suprême et également de la Cour de justice de l’UE.

(Fernando Heller | EuroEFE.Euractiv.es)

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