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Le bilan provisoire était de 34 volontaires et de six soldats dans une attaque menée par des hommes non identifiés, selon les autorités.
Des assaillants non identifiés ont tué 40 personnes et en ont blessé 33 autres lors d’une attaque contre l’armée et les forces de défense volontaires dans le nord du Burkina Faso, a indiqué le gouvernement dans un communiqué.
Un détachement de six militaires et 34 volontaires civils « a été la cible d’une attaque par des hommes armés non identifiés samedi… vers 16 heures », près du village d’Aorema, a indiqué dimanche le gouvernorat de Ouahigouya dans un communiqué.
La région n’est pas loin de la frontière avec le Mali, une zone envahie par des combattants liés à al-Qaïda et à l’EIIL (EIIL) qui ont mené des attaques répétées pendant des années.
Le bilan provisoire est de 34 auxiliaires des Volontaires pour la défense de la patrie (VDP) et de six militaires, indique le communiqué, ajoutant que 33 autres personnes ont été blessées et dans un « état stable » à l’hôpital universitaire de la capitale régionale Ouahigouya.
Une source sécuritaire a confirmé le bilan à l’agence de presse AFP et indiqué que « plusieurs dizaines de terroristes avaient été neutralisés », c’est-à-dire tués, lors d’une « riposte » lancée après l’attentat.
Selon une autre source sécuritaire, le détachement qui a été attaqué a été déployé pour maintenir la sécurité à l’aérodrome de Ouahigouya.
« Mobilisation générale »
Le gouvernement militaire du Burkina Faso avait déclaré jeudi une « mobilisation générale » pour donner à l’Etat « tous les moyens nécessaires » pour combattre une série d’attentats sanglants imputés aux combattants affiliés à al-Qaïda et au groupe EIIL.
La semaine dernière, 44 civils auraient été tués par des « groupes terroristes armés » dans deux villages du nord-est, près de la frontière nigérienne.
Il s’agit de l’une des attaques les plus meurtrières contre des civils depuis l’arrivée au pouvoir du capitaine Ibrahim Traoré en septembre dernier, après la mort de 51 soldats en février à Déou, dans l’extrême nord.
Le gouvernement avait déjà annoncé un plan de septembre 2022 pour recruter 5 000 soldats supplémentaires pour les combats qui secouent l’un des pays les plus pauvres du monde depuis 2015.
La violence a fait plus de 10 000 morts, selon des groupes d’aide non gouvernementaux, et déplacé deux millions de personnes de leurs foyers.