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Les projets comprennent la construction de centrales électriques qui réduiront la dépendance de l’Irak vis-à-vis de l’Iran pour ses besoins énergétiques.
Trois entreprises qataries et la Commission nationale des investissements irakienne ont convenu de développer des projets d’une valeur de 9,5 milliards de dollars en Irak, y compris la construction d’une paire de centrales électriques qui généreront un total de 2 400 mégawatts.
UCC Holding et la commission des investissements ont signé jeudi un partenariat public-privé de 25 ans lié aux deux centrales électriques, dont la construction coûtera 2,5 milliards de dollars, selon un communiqué publié dimanche par UCC Holding.
Les centrales électriques contribueront à réduire la dépendance de l’Irak vis-à-vis de l’Iran voisin pour ses besoins énergétiques.
L’Irak importe de l’électricité et du gaz d’Iran, qui représentent au total entre un tiers et 40 % de son approvisionnement en électricité, ce qui est particulièrement crucial pendant les mois d’été étouffants où les températures peuvent dépasser 50 °C (122 °F) et les pics de consommation d’électricité.
La commission irakienne des investissements et Estithmar Holding, basée à Doha, ont également signé des accords d’une valeur de 7 milliards de dollars pour gérer des hôpitaux, développer deux « nouvelles villes complètes » et construire une série de nouveaux hôtels cinq étoiles totalisant 10 000 chambres, selon un communiqué publié par Estithmar.
« Les villes … comprendront des complexes résidentiels, des villas, des écoles, des complexes commerciaux, des centres de divertissement et d’autres installations et services, en plus de toutes les infrastructures nécessaires à la construction de ces villes », a déclaré le vice-président d’Estithmar, Ramez Al-Khayyat, dans le communiqué.
On ne sait pas combien d’argent les entreprises qataries ou la commission d’investissement irakienne engageront dans ces projets.
Les accords ont été signés lors d’une visite à Bagdad de l’émir du Qatar, le cheikh Tamim bin Hamad Al Thani, jeudi, lorsqu’il s’est engagé à investir 5 milliards de dollars en Irak.