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Des milliers d’Israéliens ont manifesté pendant une 18e semaine consécutive contre les réformes judiciaires controversées du gouvernement d’extrême droite, bien que le Premier ministre Benjamin Netanyahu ait suspendu la refonte il y a plus d’un mois.
Des centaines de manifestants se sont rassemblés dans la ville centrale de Rehovot, agitant des drapeaux israéliens et bloquant un important carrefour routier.
Des milliers de personnes se sont rassemblées sur la place Habima de Tel-Aviv alors qu’elles se préparaient à traverser la ville jusqu’à la rue Kaplan en agitant des drapeaux israéliens et en scandant des slogans anti-Netanyahu.
Un manifestant a brandi une grande photo du ministre d’extrême droite de la Sécurité nationale, Itamar Ben-Gvir, avec une légende le surnommant « le ministre de l’échec national ».
La police israélienne n’a pas immédiatement publié d’estimation du nombre de manifestants.
Dans un communiqué publié plus tôt, les organisateurs de la manifestation ont déclaré que le gouvernement Netanyahu attendait de transformer Israël en une « dictature messianique et dangereuse ».
Ils ont souligné ce qu’ils ont dit être le coût économique du refus du gouvernement d’abandonner complètement les réformes, tenant à la place des pourparlers avec des représentants de l’opposition accueillis par le président Isaac Herzog au cours du mois dernier.
« Tant que les délibérations dans la maison du président se poursuivent, aucun investissement n’entre en Israël et l’économie israélienne s’effondre », ont déclaré les organisateurs.
Les partisans des réformes judiciaires affirment qu’elles sont nécessaires pour rééquilibrer le pouvoir entre les branches du gouvernement. Les critiques disent qu’ils représentent une menace pour la démocratie.
Netanyahu a annoncé une « pause » dans la législation pour les réformes le 27 mars « par désir d’empêcher une rupture dans la nation », après des semaines de manifestations de masse et une grève générale. Les protestations n’ont pas cessé depuis.
(AFP)