Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 wordsLes forces de sécurité françaises ont affronté des manifestants alors que des centaines de milliers de personnes sont descendues dans la rue jeudi dans une nouvelle manifestation de colère contre les réformes des retraites du président Emmanuel Macron.Avec une décision de justice clé rendue la semaine prochaine, les syndicats cherchent à maintenir la pression concernant la refonte, qui comprend le relèvement de l’âge de la retraite de 62 à 64 ans et l’exigence que les gens travaillent plus longtemps pour un paiement complet.Les changements sont le plus grand défi du second mandat de M. Macron et il a refusé avec défi de bouger, malgré la baisse de sa cote de popularité personnelle.Des échauffourées ont éclaté dans l’après-midi dans plusieurs villes, dont à Paris, où des manifestants radicaux ont brièvement incendié l’auvent d’un restaurant privilégié par le président.Des manifestations ont eu lieu dans tout le pays, des personnes brandissant des pancartes ou agitant des drapeaux syndicaux de Paris aux villes du sud de Montpellier et Marseille. »Nous n’avons pas encore baissé les bras et nous n’avons pas l’intention de le faire », a déclaré Davy Chrétien, un fonctionnaire de 50 ans, alors qu’il défilait à Marseille.Le syndicat CGT a affirmé que 400 000 personnes s’étaient rendues à la manifestation parisienne, en légère baisse par rapport au chiffre qu’il avait donné pour les manifestations de la semaine dernière.Parmi la foule, des manifestants extrémistes ont jeté de la peinture sur les boucliers de policiers lourdement équipés à l’extérieur de La Rotonde, une célèbre brasserie préférée de M. Macron.Son auvent rouge a brièvement pris feu lorsqu’un fumigène a été lancé dessus, mais les pompiers ont rapidement éteint les flammes.Des manifestants français mettent le feu à un restaurant visité par Macron – vidéoDes manifestants français mettent le feu à un restaurant visité par MacronAilleurs à Paris, des manifestants ont attaqué une agence bancaire, brisant des vitres et emportant des fichiers et des claviers d’ordinateur, a rapporté un correspondant de l’AFP.Certains ont lancé des projectiles sur les policiers, qui ont riposté avec des gaz lacrymogènes. La préfecture de police de Paris a indiqué qu’il y avait eu des blessés parmi les policiers mais n’a pas pu citer de chiffre dans l’immédiat.Des cheminots en grève ont également brièvement pris d’assaut l’ancien siège de la banque Crédit Lyonnais, un bâtiment qui abrite aujourd’hui des entreprises dont la société d’investissement BlackRock.Une vingtaine de personnes ont été arrêtées dans la capitale, a indiqué la police.A Nantes, dans l’ouest du pays, plusieurs manifestants ont lancé des pierres sur la police, qui a également utilisé des gaz lacrymogènes, a rapporté un photographe de l’AFP.Mais d’autres rassemblements semblaient largement pacifiques, plusieurs mettant en vedette des manifestants dansant ou des fanfares.Les syndicats espéraient une participation massive lors de la 11e journée d’action depuis janvier, après des signes indiquant que le mouvement de protestation commençait à perdre de son élan.Jeudi, le métro parisien a connu pour la première fois un jour de grève un minimum de perturbations, et dans tout le pays, seul un train à grande vitesse sur quatre a été annulé.Le ministère de l’Éducation a déclaré que seulement 8 % des enseignants étaient en grève.De nombreuses manifestations sont devenues violentes après que la Première ministre Elisabeth Borne a invoqué le 16 mars un pouvoir exécutif controversé pour forcer le projet de loi à être adopté par le Parlement sans vote.Toutes les parties à l’impasse attendent un verdict du 14 avril sur la validité de la réforme par le Conseil constitutionnel français, qui a le pouvoir d’annuler tout ou partie de la législation.Des manifestants défilent pendant la manifestation à Paris. PA Les protestations n’ont aucune emprise sur les membres du conseil, appelés les «sages», mais les syndicats veulent maintenir leur élan. »Nous sommes en pleine crise sociale, une crise démocratique », a déclaré Laurent Berger, chef du syndicat centriste CFDT, à la radio RTL. »C’est un problème… qui doit être résolu par le président. »Les huit principaux syndicats français ont déclaré qu’une réunion avec Mme Borne mercredi, la première depuis janvier, était un « échec » après qu’elle ait refusé de discuter du retour à l’âge minimum de la retraite de 64 ans.Le gouvernement a fait valoir qu’il était nécessaire de travailler plus longtemps pour éviter que le système de retraite ne sombre dans le déficit.Dans le reste de l’Europe, la plupart des gens prennent leur retraite à la fin de la soixantaine, car l’espérance de vie a augmenté.Les critiques disent que la réforme des retraites est injuste pour les personnes occupant des emplois difficiles qui commencent à travailler tôt, ainsi que pour les femmes qui interrompent leur carrière pour élever des enfants.Si le Conseil constitutionnel donne son feu vert, M. Macron pourra signer les modifications législatives.Mais l’impasse a érodé sa popularité, un sondage du groupe Elabe suggérant mercredi que la dirigeante d’extrême droite Marine Le Pen le battrait si l’élection présidentielle de l’année dernière se répétait maintenant.Environ 64% des personnes soutiennent toujours les manifestations contre la réforme des retraites, a constaté la société de sondage Odoxa dans une enquête publiée jeudi – peu de changement par rapport aux semaines précédentes.Mis à jour : 06 avril 2023, 21:06 !function(f,b,e,v,n,t,s) {if(f.fbq)return;n=f.fbq=function()n.callMethod? n.callMethod.apply(n,arguments):n.queue.push(arguments); if(!f._fbq)f._fbq=n;n.push=n;n.loaded=!0;n.version=’2.0′; n.queue=[];t=b.createElement(‘script’);t.async=!0; t.src=v;s=b.getElementsByTagName(e)[0]; s.appendChild ‘https://connect.facebook.net/en_US/fbevents.js’); fbq(‘init’, ‘797427810752825’); fbq(‘track’, ‘PageView’);
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