Customize this title in frenchDes scientifiques identifient un gène qui protège les humains de la grippe aviaire

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BTN3A3 – son nom est une bouchée, mais ce gène peut être la raison pour laquelle vous n’avez jamais contracté la grippe aviaire.

Des chercheurs de l’Université de Glasgow ont découvert que le gène BTN3A3 chez l’homme aide à empêcher le virus de la grippe aviaire de se répliquer à l’intérieur des cellules humaines, ce qui rend plus difficile la propagation de la maladie à d’autres personnes.

Cette découverte pourrait aider les autorités sanitaires à garder une longueur d’avance sur le virus et à améliorer les efforts de surveillance et de contrôle de la maladie.

La grippe aviaire ou aviaire circule régulièrement chez les oiseaux sauvages, qui peuvent alors infecter les poulets et présenter un risque pour l’homme en raison du contact étroit avec les volailles dans les élevages. C’est un cousin de la grippe ordinaire, bien que plus mortel pour les humains. Cependant, il est rare qu’il fasse le saut pour infecter les gens, et encore plus rare qu’il commence à se propager.

Néanmoins, les experts considèrent la grippe aviaire comme un candidat de choix pour la prochaine pandémie. Il y a eu des poussées périodiques de la maladie, comme l’épidémie de 2013 en Chine qui a tué plus de 600 personnes.

Les chercheurs, qui ont publié leurs résultats dans la revue Nature, ont déclaré que même si nous ne comprenons pas encore tous les mécanismes qui bloquent la propagation de la grippe aviaire chez l’homme, ce gène est une pièce du puzzle.

Ils ont identifié BTN3A3 après avoir testé les effets de centaines de gènes différents sur la réplication du virus aviaire. Les chercheurs ont ensuite découvert que le virus se répliquait plus facilement dans les cellules humaines lorsque BTN3A3 était réduit au silence.

Calcul du risque

La découverte aidera les agences de surveillance des maladies à mieux évaluer le risque humain – et pandémique – d’une épidémie de grippe aviaire, a déclaré le responsable de l’étude Massimo Palmarini, directeur du Centre de recherche sur les virus de l’Université de Glasgow.

Certains foyers de grippe aviaire présentent des mutations qui permettent au virus de contourner la protection accordée par BTN3A3. Ce fut le cas, par exemple, lors d’une récente épidémie dans un élevage de visons en Espagne, où une mutation évitant BTN3A3 a été détectée.

« Nous serons en mesure d’évaluer rigoureusement les risques du virus circulant dans la volaille, puis de cibler les mesures de contrôle là où elles sont le plus nécessaires », a expliqué le scientifique.

Les autorités sanitaires intègrent déjà la recherche. Un récent rapport de surveillance scientifique de l’Autorité européenne de sécurité des aliments et du Centre européen de prévention et de contrôle des maladies cite une version non révisée par des pairs de l’article dans une section sur les mutations récemment identifiées dans la grippe aviaire en circulation.

« De telles études sont importantes pour expliquer quelles lignées virales sont les plus susceptibles de franchir la barrière des espèces et d’infecter les humains ; ce type d’informations est important pour les évaluations des risques », a déclaré l’attaché de presse de l’ECDC, Alexandru Niculae, dans un commentaire écrit après avoir été interrogé sur l’importance de la découverte.



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