Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 words
Les sondages d’opinion belges montrent de grandes différences dans les comportements électoraux entre les régions du pays, les Wallons étant les moins susceptibles d’aller aux urnes tandis que l’extrême droite gagne du terrain en Flandre.
En juin, les Belges devraient voter aux élections au Parlement européen ainsi qu’aux parlements fédéral, régionaux et communautaires. Le vote est obligatoire en Belgique et dès 16 ans, les citoyens peuvent voter aux élections européennes depuis le 21 mars. Malgré cela, près d’un tiers des personnes interrogées ont déclaré qu’elles ne voteraient pas, selon le Grand Baromètre réalisé par l’institut de sondage Ipsos, entre le 11 et le 18 mars, auprès des citoyens belges âgés de 18 ans et plus.
Au niveau régional, les Wallons sont les plus nombreux à s’abstenir de voter s’il n’était pas obligatoire, avec 42%, suivis par les habitants de la capitale belge avec 29%, juste devant les Flamands avec 24%.
Un tiers des Belges déclarent ne pas savoir pour qui voter en juin, comme le rapporte RTL – des chiffres significatifs compte tenu de la culture électorale profondément enracinée du pays.
Si l’étude suggère que les Belges ne sont pas très enthousiastes à l’idée de voter, elle souligne également un écart croissant dans les intentions de vote entre les régions.
En Wallonie, 21% voteraient pour le Parti socialiste (PS/S&D), tandis qu’en Région flamande, le parti d’extrême droite Vlaams Belang (ID) l’emporterait avec 27,4% des suffrages, suivi de près par la N-VA de les Conservateurs et Réformistes européens (ECR) avec 20,4%.
En Wallonie, le PS a remporté les dernières élections régionales avec 26,2% en 2019, indiquant une potentielle défaite au profit des Engagés (PPE).
Du côté flamand, l’écart national se creuse considérablement : le parti nationaliste de droite NVA, vainqueur des élections régionales de 2019 avec 24,8% et des élections fédérales avec 16%, est devancé par le parti le plus à droite du pays. , le Vlaams Belang, qui monte en puissance depuis des années mais n’a pas encore dépassé son rival.
C’est la victoire des partis des différents côtés (extrêmes) de l’échiquier politique qui rend la formation d’un gouvernement complexe.
Par ailleurs, Le Soir rapporte que le même sondage montre que le Premier ministre Alexander De Croo (Open VLD, Renew) figure parmi les trois hommes politiques belges les plus populaires dans les trois régions.
(Claire Lemaire | Euractiv.com)