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Une société détenue en partie par le géant français de l’énergie EDF a remporté l’appel d’offres pour la construction du plus grand parc éolien offshore du pays au large des côtes normandes, a annoncé le ministère de la Transition énergétique lundi 27 mars.
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Eoliennes en Mer Manche Normandie (EMMN), société commune à EDF Renouvelables et Maples Power, a été retenue pour piloter le projet « Centre Manche 1 ».
Le projet représentant 1 gigawatt (GW) de capacité installée est suffisant pour répondre à la consommation d’électricité de 800 000 foyers, a annoncé lundi 27 mars le ministère français de la Transition énergétique.
Sa mise en service est prévue en 2031, la construction devant débuter en 2026 ou 2027, a précisé la ministre de la Transition énergétique Agnès Pannier-Runacher. La Presse de la Manche dans une interview.
En sélectionnant EMMN, la Commission de régulation de l’énergie (CRE) conforte la mainmise d’EDF sur le secteur éolien offshore français, le géant de l’énergie étant désormais impliqué dans cinq projets sur huit au large des côtes françaises.
L’EMMN a proposé un prix du MWh compétitif à 44,90 €, loin des pics atteints par l’électricité ces derniers mois.
Même s’il ne reflète pas le coût complet du système électrique, ce prix « montre la forte baisse des coûts du secteur », a déclaré Maxence Cordiez, ancien directeur des affaires européennes au Commissariat à l’énergie atomique. Twitter.
« A titre de comparaison, les appels d’offres pour l’éolien terrestre et le solaire photovoltaïque sortent désormais à des prix environ 50% plus élevés », d’autant que les prix sur ce marché se situaient autour de 140-150 €/MWh, a ajouté Cordiez.
Cependant, « ce parc normand est plus cher à construire, compte tenu de la configuration des fonds marins et de l’éloignement de la côte », rapporte Les Échoscitant plusieurs entreprises énergétiques concurrentes.
« Nous avons besoin d’outils dans le cahier des charges pour évaluer la robustesse technique et financière des offres », a déclaré la présidente de la CRE, Emmanuelle Wargon. Les Échos.
Pour respecter les spécifications, les développeurs de projets devront développer des parcs éoliens flottants, a déclaré Cordiez.
D’autres projets en cours
Un projet similaire de 250 MW sera développé au large de la Bretagne. Le cahier des charges du projet a été publié lundi.
Le ministère de la Transition énergétique a également annoncé les sociétés retenues pour piloter les projets éoliens offshore non flottants au large de l’île d’Oléron (1 GW) ainsi que celui au large de la Normandie (1,5 GW).
La France dispose aujourd’hui de 4 GW d’éolien offshore en développement qui, une fois installés, auront une capacité de production théorique de quatre réacteurs nucléaires.
La France a adopté début mars une loi pour accélérer le déploiement des énergies renouvelables. En accélérant l’octroi des permis, elle vise à installer 40 GW de capacité d’ici 2050.
[Edited by Frédéric Simon/Nathalie Weatherald]