Customize this title in frenchÉlections néerlandaises : l’anti-islamisme d’extrême droite Geert Wilders remporte une victoire choc

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Le populiste d’extrême droite a remporté une immense victoire dans l’un des plus grands tremblements de terre politiques aux Pays-Bas depuis la Seconde Guerre mondiale.

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On l’a surnommé le Trump néerlandais. Il a été menacé de mort à de nombreuses reprises par des extrémistes islamiques, reconnus coupables d’insultes aux Marocains et la Grande-Bretagne lui a déjà interdit l’entrée dans le pays.

Aujourd’hui, Geert Wilders a remporté une victoire électorale massive aux Pays-Bas et est en pole position pour former la prochaine coalition au pouvoir et éventuellement devenir le prochain Premier ministre du pays.

Son Parti pour la liberté (PVV) devrait remporter 37 sièges, selon les dernières estimations, bien devant son plus proche rival : une alliance de gauche.

Toutefois, Wilders devra probablement convaincre d’autres partis de le rejoindre dans une coalition, ce qui pourrait s’avérer délicat. Son objectif est de 76 sièges sur un parlement de 150 sièges.

Un sondage à la sortie des urnes révélant sa victoire écrasante a semblé surprendre même un vétéran politique de 60 ans.

Dans sa première réaction, publiée dans une vidéo sur X, anciennement Twitter, il a écarté les bras, a mis son visage dans ses mains et a simplement dit « 35 ! – le nombre de sièges que le sondage prévoyait alors que son parti aurait remporté.

Wilders, avec sa langue enflammée, est depuis longtemps l’un des législateurs néerlandais les plus connus aux Pays-Bas et à l’étranger. Sa politique populiste et ses cheveux blonds peroxydés lui ont valu des comparaisons avec l’ancien président américain Donald Trump.

Mais contrairement à Trump, il semblait destiné à passer sa vie dans l’opposition politique.

La seule fois où Wilders a failli gouverner, c’est lorsqu’il a soutenu la première coalition formée par le Premier ministre Mark Rutte en 2010. Mais Wilders n’a pas officiellement rejoint l’administration minoritaire et l’a fait tomber après seulement 18 mois de mandat dans un conflit sur les mesures d’austérité. Depuis, les grands partis l’ont boudé.

Ils ne le peuvent plus.

« Nous voulons gouverner et… nous gouvernerons. [The seat numbers are] un énorme compliment mais aussi une énorme responsabilité », a déclaré le joueur de 60 ans dans son discours de victoire.

Wilders devra convaincre d’autres partis de se joindre à lui dans une coalition. Mais il reste à voir s’il parviendra à constituer une coalition stable avec d’anciens ennemis politiques.

L’alliance verte de gauche dirigée par l’ancien commissaire européen Frans Timmermans devrait arriver en deuxième position avec 25 sièges. Il a clairement indiqué qu’il n’aurait rien à voir avec un gouvernement dirigé par Wilders.

« Nous ne laisserons personne partir aux Pays-Bas. Aux Pays-Bas, tout le monde est égal », a déclaré Timmermans à ses supporters.

Avant le vote, les trois autres partis en tête ont déclaré qu’ils ne rejoindraient pas un gouvernement dirigé par Wilders. Cela pourrait cependant changer.

Le VVD de centre droit, dirigé par son nouveau leader Dilan Yesilgöz, fille d’un demandeur d’asile turc, arrive en troisième position. Suivi par un nouveau parti formé par Pieter Omtzigt, qui s’est engagé à restaurer la confiance dans la politique néerlandaise.

En plus d’aliéner les politiciens traditionnels, la rhétorique enflammée anti-islam de Wilders a également fait de lui une cible pour les extrémistes et l’a amené à vivre sous protection 24 heures sur 24 pendant des années. Il a comparu devant le tribunal comme victime de menaces de mort, jurant de ne jamais être réduit au silence.

Pourtant, il semble avoir exploité la frustration généralisée suscitée par la migration en promettant de fermer les frontières.

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Votant mercredi à l’hôtel de ville de La Haye, Wilders était flanqué d’agents de sécurité costauds scrutant l’espace caverneux à la recherche d’éventuelles menaces. Il a déménagé d’une maison sûre à une autre pendant près de deux décennies.

En 2009, le gouvernement britannique a refusé de le laisser visiter le pays, affirmant qu’il représentait une menace pour « l’harmonie communautaire et donc la sécurité publique ».

Wilders avait été invité en Grande-Bretagne par un membre de la Chambre haute du Parlement, la Chambre des Lords, pour projeter son film de 15 minutes « Fitna », qui critique le Coran comme un « livre fasciste ». Le film a déclenché de violentes protestations dans le monde musulman en 2008, car il associait des versets coraniques à des images d’attaques terroristes.

Cette fois-ci, pour courtiser les grands électeurs, Wilders a atténué sa rhétorique anti-islam et a cherché à se concentrer moins sur ce qu’il appelle la « désislamisation » des Pays-Bas et davantage sur la résolution de problèmes brûlants tels que la pénurie de logements, un problème coûteux. crise de vie et accès à de bons soins de santé.

Son programme de campagne appelait néanmoins à un référendum sur la sortie des Pays-Bas de l’Union européenne, à un « arrêt d’asile » et à « pas d’écoles, de Corans et de mosquées islamiques », bien qu’il se soit engagé mercredi soir à ne pas enfreindre les lois néerlandaises ni la constitution du pays qui consacre la liberté d’expression. religion et expression.

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Il a suspendu sa promesse d’interdire le Coran, le livre sacré de l’Islam.

Wilders devrait devenir le législateur le plus ancien au parlement néerlandais plus tard cette année. Il est membre de la Chambre des représentants depuis 1998, d’abord pour le Parti populaire de centre-droit pour la liberté et la démocratie, où il a encadré un jeune Rutte avant de quitter le parti et de créer son Parti pour la liberté. Il a fait preuve d’un côté plus doux mercredi soir en remerciant son épouse d’origine hongroise Krisztina pour son soutien.

Wilders est également un fervent partisan d’Israël et préconise le transfert de l’ambassade des Pays-Bas à Jérusalem et la fermeture du poste diplomatique néerlandais à Ramallah, siège de l’Autorité palestinienne.

Wilders est connu pour sa ligne dure, mais aussi pour ses répliques pleines d’esprit. Et ses animaux de compagnie. Ses deux chats, Snoetje et Pluisje, possèdent leur propre compte sur X, anciennement Twitter, avec près de 23 000 followers.

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