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© Reuter. PHOTO DE DOSSIER : Un logo est visible sur la calandre d’un véhicule concept E-transit lors d’un événement de presse à l’usine de transmissions Ford Halewood à Liverpool, en Grande-Bretagne, le 1er décembre 2022. REUTERS/Phil Noble/file Photo
Par Victoria Waldersee
BERLIN (Reuters) – Les pourparlers entre Ford (NYSE 🙂 et un investisseur potentiel dans son usine de Saarlouis, en Allemagne, ont échoué, a annoncé jeudi le constructeur automobile, replongeant les travailleurs dans l’incertitude quant à l’avenir du site et de leurs emplois.
Un représentant syndical a exprimé sa déception et sa colère face à cette nouvelle, affirmant que les négociations avec l’entreprise se poursuivraient lundi sur une convention collective pour les travailleurs qui risquaient de perdre leur emploi.
« Cela coûtera cher à Ford », a déclaré le représentant syndical Joerg Koehlinger. « Nous enverrons un signal pour que les autres entreprises aient peur d’aplatir les sites. »
Les syndicats avaient déclaré plus tôt cette année qu’ils attendaient une solution d’ici la fin du premier trimestre 2023 et qu’ils n’attendraient pas jusqu’en 2024.
Ce revers survient alors que Ford est en pleine négociation avec le syndicat United Auto Workers aux États-Unis, qui entame depuis 21 jours une grève concernant les conditions de travail.
L’investisseur potentiel de Sarrelouis, qui n’a jamais été nommé, a signé un accord non contraignant en juin de cette année mais a maintenant décidé de ne pas poursuivre les négociations, a déclaré un porte-parole dans un communiqué.
L’avenir du site est incertain depuis juin 2022, lorsque Ford a choisi un site en Espagne pour assembler son véhicule électrique (VE) de nouvelle génération au lieu de l’usine allemande, qui cessera de produire son modèle actuel, la Ford Focus, à partir de 2025.
Quinze investisseurs potentiels avaient manifesté leur intérêt, a déclaré le comité d’entreprise plus tôt dans l’année, certains médias rapportant que le fabricant chinois de véhicules électriques BYD (SZ 🙂 faisait partie d’entre eux.
Un porte-parole du syndicat a déclaré qu’il n’avait connaissance d’aucun autre investisseur avec lequel les négociations avaient progressé.
L’accord avec l’investisseur potentiel aurait permis de garantir 2 500 des quelque 4 500 emplois actuellement présents sur le site, selon un rapport du Handelsblatt publié jeudi.
Ford maintiendra 1.000 emplois à Saarlouis dans le cadre d’un « plan alternatif » qui pourrait également servir de base à un futur centre technologique sur le site, indique le communiqué de jeudi, sans fournir plus de détails.