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Un chef d’orchestre doit toujours en savoir plus que tous les musiciens de son orchestre réunis. Kurt Masur apprend ce postulat. Mais cela n’explique toujours pas ce qu’est le miracle d’un concert réussi. Une soirée parfaite où la personne au bureau et les 50, 80 ou 100 devant lui ne font plus qu’un. Un dur travail? Chimie? Sympathie? La télépathie? Aura du tout ? On dit que l’Orchestre Philharmonique de Berlin a produit le célèbre son Furtwängler lorsque le maestro se tenait seulement au fond de la salle et que quelqu’un d’autre dirigeait.
Dans les semaines à venir, le public munichois aura de nombreuses occasions de percer ce mystère. Des chefs d’orchestre et des orchestres de haut niveau très différents peuvent être rencontrés. Les deux Orchestre philharmonique à propos de l’invité Daniele Gatti (28 et 29 février, 19h30, Isarphilharmonie) avec la 7e Symphonie de Gustav Mahler. Le Milanais doit son amour pour Mahler à son père, qui jouait la musique du compositeur sur disque pour son fils.
L’organiste, pianiste et chef d’orchestre britannique Wayne Marshall a eu son expérience d’éveil en tant que garçon en écoutant un concerto pour piano de George Gershwin. Il est clair que Gershwin (« Rhapsody in Blue ») ne sera pas absent lorsqu’il dirigera le Philis les 16 et 17 mars à 19h et 23h. Son concert à l’Isarphilharmonie aura également du son de Broadway et des musiques de films avec « Symphonic Nocturne » de Kurt Weill et « On the Waterfront » de Leonard Bernstein, où l’on voit immédiatement devant soi le visage meurtri de Marlon Brando.
Le public de l’Isarphilharmonie peut également diriger des études de sonorisation et de direction d’orchestre avec le Orchestre Symphonique de Kyiv, qui a été enregistré par la ville de Gera après le début de la guerre d’agression russe et continue ses activités de concert à partir de là (3 mars, direction musicale : Luigi Gaggero). Le pianiste Kirill Gerstein se produira avec le le 6 mars Orchestre Symphonique de la Radio Suédoise sous la direction de son chef d’orchestre Daniel Harding.
Cela vient de Tokyo Orchestre Symphonique Waseda Le 10 mars, le chef d’orchestre Kiyotaka Teraoka a amené avec lui l’ensemble de taiko « Eitetsu Fu-un no Kai » et leurs tambours. Il y a des sons plus familiers au concert de Dvořák (17 mars). Philharmonie tchèque sous la direction de Semyon Bychkovau piano monsieur Andras Schiff.
Le Orchestre Symphonique de la Radio Bavaroise marche avec Ivan Fischer au podium (29 février/1er mars, salle Hercules). Robin Ticciati Adolescent, il a joué du violon dans l’Orchestre national des jeunes de Grande-Bretagne et a été influencé par Sir Colin Davis. Les 7 et 8 mars, le Britannique dirigera le BRSO à la Herkulessaal, avec la violoniste Vilde Frang comme soliste. En parlant de monsieur, Simon Hochet avec son orchestre les 14 et 15 mars. Entre autres choses, avec le prélude et le « Liebestod » de « Tristan et Isolde » et la Pastorale de Beethoven.
Vladimir Jurovsky et cela Orchestre d’État de Bavière, une relation interne qui n’est pas toujours facile, comme on l’entend, mais qui produit toujours des résultats musicaux passionnants : certainement aussi les 18 et 19 mars au Concert de l’Académie au Théâtre National. Les musiciens ont notamment demandé à Schönberg « la musique d’accompagnement d’une scène de film ». Le soliste est le violoniste Frank Peter Zimmermann.
Un chef d’orchestre qui écrit aussi est biélorusse Vitaly Alekseenok. Son livre « Les Journées blanches de Minsk » (S. Fischer) est une chronique de la révolution en Biélorussie. Vous pourrez découvrir Alekseenok, qui assumera le poste de chef d’orchestre du Deutsche Oper am Rhein en août pour trois saisons, le 8 mars au Schwer Reiter, où il le fera pour la première fois. Orchestre de chambre de Munich dirige. Vous pouvez entendre la musique de Luigi Nono et « Serenade », une des premières œuvres du compositeur ukrainien Valentin Silvestrov.