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Lièvres (Territoires palestiniens) (AFP) – Les troupes israéliennes ont démoli mercredi les maisons de deux Palestiniens accusés d’avoir perpétré des attaques meurtrières contre des Israéliens en Cisjordanie occupée l’année dernière.
L’armée a déclaré que les démolitions visaient les maisons de Mohammed Souf, 18 ans, accusé d’une « attaque à la voiture bélier et à l’arme blanche » qui a tué trois Israéliens en novembre dernier, et de Younis Hilan, accusé d’avoir poignardé mortellement un Israélien le mois précédent.
L’oncle de Souf, Mostafa, a dénoncé les démolitions comme une « punition collective ».
« C’est la politique de l’occupation que nous, en tant que Palestiniens, connaissons et connaissons. Nous étions sûrs que cela arriverait, car nous avons déjà subi des punitions collectives », a-t-il déclaré à l’AFP.
Le père de Hilan, Jalal, a souligné que l’attaque au couteau perpétrée par son fils dans le village palestinien d’Al-Funduq, à l’ouest de la ville de Naplouse, « n’était pas de ma faute ».
Il a dit qu’il s’était attendu à ce que l’armée ne rase qu’un seul étage de la maison familiale dans laquelle son fils avait vécu, mais s’est plaint qu’ils avaient également démoli un autre étage.
L’armée a déclaré que lors de la démolition de la maison de Hilan « des suspects ont lancé des pierres et fait rouler des pneus enflammés sur les soldats ».
Israël, qui occupe la Cisjordanie depuis 1967, démolit régulièrement les maisons d’individus qu’il accuse d’avoir attaqué des Israéliens.
Les militants des droits de l’homme affirment que cette politique équivaut à une punition collective, car elle peut rendre les non-combattants, y compris les enfants, sans abri.
Mais Israël affirme que cette pratique est efficace pour dissuader certains Palestiniens de commettre des attentats.
© 2023 AFP