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Ali Ahmad Hussein, des forces d’élite Radwan du Hezbollah, « éliminé » par des avions israéliens aux côtés de trois autres combattants lors d’une frappe nocturne.
L’armée israélienne affirme avoir tué un commandant du Hezbollah lors d’une frappe aérienne nocturne au Liban, alors que les Nations Unies préviennent que les bombardements se propagent et appellent à mettre un terme au cycle de violence.
Ali Ahmad Hussein, de la force d’élite Radwan du Hezbollah, a été « éliminé » par des avions israéliens dans la région d’Al-Sultaniyah, au sud du Liban, a indiqué lundi l’armée israélienne dans un communiqué, l’accusant d’attaques contre des cibles israéliennes ces derniers mois.
Au moins trois autres combattants du Hezbollah ont également été tués dans cette frappe, a appris Al Jazeera.
Pendant ce temps, des dizaines de roquettes ont été lancées depuis le Liban vers le plateau du Golan occupé par Israël.
Les combattants du Hezbollah ont déclaré qu’ils visaient une base militaire et des postes de défense aérienne dans la région.
Le Hezbollah et l’armée israélienne ont échangé des tirs à travers la frontière sud du Liban parallèlement à la guerre à Gaza, renforçant les craintes d’un conflit régional plus large.
Les frappes israéliennes ont tué environ 270 combattants du Hezbollah au cours des six derniers mois, ainsi qu’une cinquantaine de civils, dont des enfants, des médecins et des journalistes.
Les tirs de roquettes du Hezbollah ont tué une douzaine de soldats israéliens et deux fois moins de civils.
Un « cycle implacable » de violence
Les bombardements ont provoqué le déplacement de plus de cent mille personnes de chaque côté de la frontière et ont frappé particulièrement durement l’économie agricole du sud du Liban, les champs détruits par les bombardements n’étant ni plantés ni récoltés.
Ali Hashem d’Al Jazeera, en reportage depuis Kafra, dans le sud du Liban, a déclaré que les combats et les frappes transfrontalières illustrent « la dynamique changeante au cours des derniers mois » depuis l’attaque du Hamas contre Israël le 7 octobre.
« Au début, le conflit était contenu. Mais maintenant, nous ne pouvons plus dire cela », a-t-il déclaré, citant comme exemple l’attaque « sans précédent » du Hezbollah sur le plateau du Golan occupé.
Dans une déclaration conjointe lundi, la coordonnatrice spéciale des Nations Unies pour le Liban, Joanna Wronecka, et le commandant de la mission de maintien de la paix des Nations Unies au Liban, Aroldo Lazaro, ont déclaré que la violence devait cesser.
« Le cycle incessant de frappes et de contre-attaques en violation de la cessation des hostilités constitue la violation la plus grave de la résolution 1701 du Conseil de sécurité depuis son adoption en 2006 », ont-ils déclaré.
Cette décision de l’ONU a mis fin à une guerre d’un mois entre le Hezbollah et Israël il y a près de deux décennies, mais bon nombre de ses points – notamment le retrait des groupes armés du sud et le déploiement de troupes de l’armée libanaise – n’ont jamais été mis en œuvre.