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La célébration de la Journée internationale de la femme revêt cette année une signification unique en Irlande, alors que le pays s’engage dans un vote crucial sur la modification de son texte constitutionnel vieux de huit décennies sur le rôle des femmes.
L’Irlande s’apprête aujourd’hui à organiser deux référendums : l’un sur le rôle des femmes au foyer et l’autre visant à redéfinir les contours de la famille dans la société irlandaise moderne.
Ces référendums ont généré beaucoup de questionnements et une volonté de supprimer le langage genré de la référence aux « femmes au foyer ».
À la suite de décisions historiques telles que le vote de 1995 visant à abolir l’interdiction du divorce et les référendums ultérieurs sur le mariage homosexuel (2015) et l’avortement (2018), le public irlandais est invité à voter OUI ou NON sur le libellé de la nouvelle loi. article et l’impact qu’il aura sur les droits des femmes irlandaises.
Que dit l’amendement actuel sur les soins à propos des femmes ?
La constitution actuelle, née en 1937 alors que l’influence de l’Église catholique était grande, reconnaît la « vie au sein du foyer » de la femme comme la pierre angulaire du soutien nécessaire au « bien commun ».
L’article 41.2 de la Constitution irlandaise, assorti de nuances sexospécifiques, reconnaît non seulement cette contribution, mais s’engage également à protéger les mères des pressions économiques qui pourraient les détourner de leurs tâches domestiques.
« L’État reconnaît que par sa vie au sein du foyer, la femme apporte à l’État un soutien sans lequel le bien commun ne peut être réalisé ».
Il ajoute : « L’État doit donc s’efforcer de garantir que les mères ne soient pas contraintes par des nécessités économiques à travailler au détriment de leurs devoirs domestiques ».
On demande désormais aux électeurs si le langage utilisé, que beaucoup ont qualifié de sexiste et de dépassé, devrait être supprimé.
Cependant, de nombreux débats ont également eu lieu autour de la suppression du mot « femme » de la Constitution et de la question de savoir si ce changement serait défavorable aux femmes qui travaillent uniquement à la maison ou supprimerait la protection constitutionnelle des mères.
Pendant ce temps, les partisans du changement affirment que la nouvelle formulation permettra d’adapter la constitution irlandaise à la société moderne.
Dans les cadres constitutionnels qui ont façonné l’identité d’autres nations européennes, le langage utilisé pour décrire le rôle des femmes reflète les valeurs sociétales.
En Allemagne, la Loi fondamentale constitue un exemple de progrès en matière d’égalité des sexes. Consacré à l’article 3, le principe d’égalité de traitement interdit la discrimination fondée sur le sexe, reconnaissant explicitement l’égalité des droits des hommes et des femmes.
La France, avec son engagement en faveur de « liberté, égalité, fraternité », souligne l’engagement de la nation à traiter tous les citoyens sur un pied d’égalité. Le concept de laïcité, ou laïcité, influence davantage les discussions sur les droits des femmes, le pays étant devenu le premier pays au monde à consacrer le droit à l’avortement dans la constitution en début de semaine.
Que propose le nouveau référendum irlandais ?
Le nouveau référendum propose de le remplacer par l’article 42B, qui reconnaît les soins que les membres de la famille se prodiguent les uns aux autres.
Il dit : « L’État reconnaît que la prestation de soins par les membres d’une famille les uns aux autres en raison des liens qui existent entre eux, apporte à la société un soutien sans lequel le bien commun ne peut être réalisé, et il s’efforce de soutenir telle disposition. »
Le résultat du vote d’aujourd’hui constituera un moment clé pour déterminer l’approche de l’Irlande face aux questions sociales clés à l’avenir.