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Afin de contrer la montée en flèche de l’inflation, la banque centrale turque a relevé son taux d’intérêt directeur à un niveau sans précédent de 50 pour cent.
Selon un rapport d’AP News, cette décision inattendue vise à lutter contre les graves défis économiques auxquels sont confrontés les ménages aux prises avec la flambée des prix des biens et services essentiels.
La hausse surprise des taux de la banque centrale est une réponse à la détérioration des perspectives d’inflation, avec une hausse annuelle des prix à la consommation qui a atteint 67 pour cent en février.
La forte hausse des prix a imposé une immense pression financière à de nombreuses familles, rendant de plus en plus difficile pour elles de pouvoir se permettre les produits de première nécessité tels que la nourriture, le loyer et les services publics.
La banque a déclaré : « Une politique monétaire stricte sera maintenue jusqu’à ce qu’une baisse significative et soutenue de la tendance sous-jacente de l’inflation mensuelle soit observée. »
Le président Recep Tayyip Erdogan, connu pour ses théories économiques non conventionnelles prônant une baisse des taux d’intérêt pour contrôler l’inflation, a été critiqué pour sa politique.
Sa stratégie de réduction des taux d’intérêt avait initialement conduit à une inflation à deux chiffres et à une crise monétaire.
Cependant, après sa réélection en mai dernier, Erdogan a changé de cap et nommé une nouvelle équipe économique, qui a ensuite relevé le taux d’intérêt de référence de 8,5 pour cent en juin à 45 pour cent en janvier.
Malgré les précédentes hausses de taux, Bartosz Sawicki, analyste de marché chez Conotoxia, a noté que la banque centrale turque avait été contrainte d’augmenter le taux des pensions à une semaine de 45 pour cent à 50 pour cent.
« Bien que la fin du cycle de resserrement ait été déclarée en janvier, la banque centrale turque a été contrainte de relever le taux des pensions à une semaine de 45 pour cent à 50 pour cent malgré les élections locales imminentes », a déclaré Sawicki, cité par AP News.
Il a en outre ajouté que les hausses de taux initiées depuis les élections présidentielles de 2023 étaient insuffisantes pour remédier aux déséquilibres économiques résultant d’années de politiques peu orthodoxes.
La livre turque, qui s’est dépréciée d’environ 40 pour cent par rapport au dollar américain au cours de l’année écoulée, a montré des signes de reprise suite à la dernière décision de la banque centrale.
Cette hausse des taux vise à restaurer la confiance dans la monnaie et à stabiliser le marché financier dans un contexte de défis économiques persistants.