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Les titulaires de prêts hypothécaires et les locataires britanniques étant particulièrement exposés aux effets des hausses de taux, les craintes d’un krach immobilier de style années 1990 augmentent
La Banque d’Angleterre a relevé jeudi son taux d’intérêt à 5% pour lutter contre une inflation obstinément élevée, qui, selon les statistiques de cette semaine, n’a toujours pas baissé aussi rapidement qu’espéré.
La hausse d’un demi-point est plus importante que ne l’avaient prévu les analystes et a de sérieuses implications pour les emprunteurs et les titulaires de prêts hypothécaires britanniques déjà surchargés.
On espérait que la Banque d’Angleterre pourrait faire une pause dans son cycle de hausse des taux si l’inflation montrait des signes clairs de ralentissement.
Mais en choc avec les attentes du Trésor, les chiffres publiés mercredi ont montré que l’inflation au Royaume-Uni s’est maintenue à 8,7% sur l’année jusqu’en mai après les attentes d’une légère baisse à 8,4%.
Bien qu’il soit en baisse par rapport aux 11,1 % d’octobre dernier, le plus haut niveau depuis le début des années 1980, la banque souhaite le ramener à 2 %.
Des données économiques récentes suggèrent qu’une inflation élevée s’est enracinée dans l’économie sous la forme de salaires plus élevés et des prix que les gens paient pour les services.
Des taux d’intérêt plus élevés contribuent à réduire l’inflation en rendant l’emprunt plus coûteux pour les particuliers et les entreprises, ce qui signifie qu’ils dépensent potentiellement moins, ce qui réduit la demande et la pression sur les prix.
« Les travailleurs subissent les coupes les plus importantes en termes réels de mémoire d’homme, et d’énormes dommages économiques sont causés parce que les gens n’ont pas les moyens de payer les factures », a déclaré Gary Smith, secrétaire général du syndicat GMB.
La dernière hausse sera particulièrement douloureuse pour les personnes détenant des prêts et des dettes, en particulier les quelque 1,4 million de ménages au Royaume-Uni qui devront refinancer leurs hypothèques dans l’année.
Selon la Fondation Joseph Rowntree, qui mène des recherches sur la pauvreté au Royaume-Uni, des taux d’intérêt plus élevés associés à l’inflation ont des effets néfastes sur les titulaires de prêts hypothécaires à faible revenu du pays, qui devront désormais faire face à des taux d’intérêt de 6 % sur les nouveaux contrats hypothécaires à durée déterminée. .
De nombreux détenteurs d’hypothèques qui louent leurs propriétés sont susceptibles de répercuter ces augmentations sur des locataires de plus en plus pressés.
La fondation rapporte que plus de la moitié des locataires privés à faible revenu paient plus de 40 % de leur revenu en loyer, laissant 78 % sans au moins un achat essentiel.