Customize this title in frenchLa Belgique échange un terroriste condamné contre un travailleur humanitaire emprisonné en Iran

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L’Iran a libéré Olivier Vandecasteele, un travailleur humanitaire belge qui était détenu en Iran depuis plus d’un an, en échange du terroriste condamné Assadollah Assadi, qui avait été emprisonné en Belgique.

« Olivier Vandecasteele est en route pour la Belgique », a déclaré vendredi le Premier ministre belge Alexander De Croo. « Si tout se passe comme prévu, il sera avec nous ce soir. »

Vandecasteele devrait atterrir sur la base militaire de Melsbroek entre 21h et 21h30 vendredi soir, a indiqué le gouvernement belge lors d’une conférence de presse.

Les autorités ont confirmé que le travailleur humanitaire belge avait été échangé contre Assadi, mais sans utiliser un accord bilatéral controversé qui permettrait aux Iraniens condamnés en Belgique de purger leur peine en Iran, et vice-versa.

Au lieu de cela, le gouvernement a utilisé un article de la constitution belge qui lui donne le pouvoir de statuer sur les questions de politique étrangère, rendant l’échange possible.

Aucune rançon n’a été payée pour libérer Vandecasteele, a indiqué le gouvernement belge.

Le diplomate iranien Assadi a été condamné à 20 ans de prison par un tribunal d’Anvers en 2021 pour avoir comploté un attentat à la bombe contre un rassemblement organisé par des dissidents iraniens près de Paris.

Assadi sera de retour en Iran « dans les prochaines heures », a déclaré le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, Nasser Kanaani, dans un communiqué.

Un mouvement d’opposition politique iranien en exil, le Conseil national de la Résistance iranienne, a condamné vendredi l’échange de prisonniers, affirmant qu’il « encourage le terrorisme et trahit les droits de l’homme en violant la décision de la Cour constitutionnelle ».

Vandecasteele avait été condamné à 40 ans de prison pour quatre chefs d’accusation différents : espionnage de l’Iran, coopération avec les États-Unis contre l’Iran, contrebande de devises et blanchiment d’argent.

Le gouvernement belge avait déclaré que les accusations étaient « fabriquées » et avait poussé pour la libération de Vandecasteele.

Cette histoire a été mise à jour.



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