Customize this title in frenchLa Belgique troublée par les navires russes de « collecte de renseignements » dans les eaux territoriales

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Un navire russe repéré dans les eaux territoriales belges en novembre a fait craindre qu’il s’agisse d’un navire de collecte de renseignements russe similaire à celui également vu dans les eaux territoriales néerlandaises, tentant de naviguer sous le radar.

Le navire aurait navigué dans les eaux belges et néerlandaises en novembre avec son système d’identification automatique (AIS) désactivé, un sujet de préoccupation, selon le ministre de la Mer du Nord, Vincent Van Quickenborne.

Il a été supposé que le navire russe cartographiait des infrastructures sensibles, et le ministre belge a déclaré que cela était « sans aucun doute » lié au contexte plus large de la guerre en Ukraine.

Dès le 1er janvier, la nouvelle loi sur la sécurité maritime est entrée en vigueur, prévoyant notamment la surveillance vidéo en mer, qui devrait faciliter le repérage des navires.

En février, une enquête a été ouverte sur l’incident.

Mercredi 19 avril, un documentaire produit par le radiodiffuseur de service public danois RD en collaboration avec des chaînes de télévision norvégiennes, suédoises et finlandaises, a rapporté qu’un programme militaire russe a cartographié des parcs éoliens offshore, des gazoducs et des câbles électriques et Internet dans les eaux danoises, norvégiennes, finlandaises et suédoises.

Cependant, la Russie nie avoir quoi que ce soit à voir avec les activités de collecte de renseignements en mer du Nord.

« Les médias de ces pays se sont trompés dans leur enquête. Ils préfèrent porter des accusations sans fondement contre la Russie », a déclaré mercredi à la presse Dmitri Peskov, porte-parole du Kremlin. Le Monde signalé.

En janvier, le secrétaire général de l’OTAN, Jens Stoltenberg, et la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, ont annoncé que l’OTAN et l’UE avaient décidé de créer un groupe de travail sur la résilience et la protection des infrastructures critiques.

Au cours de la conférence de presse qui a suivi l’annonce, Stoltenberg a déclaré : « L’invasion brutale de l’Ukraine par la Russie a fondamentalement changé notre sécurité ».

« La résilience et la protection des infrastructures critiques sont un élément clé de nos efforts conjoints, comme nous l’avons vu à la fois avec la militarisation de l’énergie par le président Poutine et […] le sabotage des pipelines Nord Stream », a-t-il ajouté. « Nous voulons examiner ensemble comment rendre nos infrastructures, technologies et chaînes d’approvisionnement critiques plus résistantes aux menaces potentielles et prendre des mesures pour atténuer les vulnérabilités potentielles. »

Des hauts responsables de l’OTAN et de l’UE se sont rencontrés le 16 mars pour créer le groupe de travail, et selon un communiqué de presse de la Commission européenne, il couvre quatre secteurs : l’énergie, les infrastructures numériques, les transports et l’espace.

De plus, en mai 2018, le Danemark a accueilli le premier sommet de la mer du Nord à Esbjerg, qui a réuni les dirigeants de l’Allemagne, de la Belgique et des Pays-Bas, et la présidente de la Commission, Ursula von der Leyen.

Lundi 24 avril, la deuxième édition du sommet aura lieu à Ostende, en Belgique, et devrait inclure les dirigeants de l’Allemagne, des Pays-Bas, du Luxembourg, de la France, de l’Irlande, de la Norvège et du Royaume-Uni.

L’un des objectifs présentés par la Belgique pour ce sommet est la sécurité des infrastructures énergétiques et des parcs éoliens offshore, ainsi que des câbles qui les relient.

(Anne-Sophie Gayet | EURACTIV.com)



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