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Telle était la liste des erreurs de Ferrari la saison dernière, Max Verstappen a plaisanté en disant qu’une course sèche avec plus de stratégies disponibles signifiait qu’il y aurait plus d’opportunités pour la Scuderia de « f ** k up ».
Bien qu’il ait été suggéré au début de la saison dernière que la F1-75 de Ferrari était la voiture à battre, leur campagne pour le titre était terminée avant même le milieu de la saison car ils ont commis une erreur de stratégie après un problème de fiabilité après un accident de pilote.
Rien que dans les deux courses précédant le Grand Prix de Belgique, Charles Leclerc est sorti de la tête en France tandis qu’en Hongrie, l’équipe a choisi de mettre le pilote monégasque, qui menait à nouveau une course, sur les Pirelli durs même si aucun de leurs rivaux ont réussi à faire fonctionner le pneu. Il est tombé en P6.
Dans les deux cas, Verstappen a été doté d’un chemin facile vers la victoire. Il n’est pas étonnant qu’il ait plaisanté sur les erreurs de Ferrari lors de la préparation du week-end du Grand Prix de Belgique.
En vérifiant la météo sur son téléphone à la veille du week-end de course de Spa-Francorchamps, le pilote Red Bull a déclaré devant la caméra diffusée dans le documentaire « Max Verstappen, Anatomy Of A Champion » : « Rain Friday, Saturday ».
Lorsqu’on lui a demandé si c’était « mieux si c’est mouillé, non ? », il a répondu : « Plus de chaos.
« Mais sur le sec, Ferrari a plus d’options pour foutre en l’air les stratégies. »
Il s’est avéré que Ferrari n’a pas gâché ce week-end, ils n’avaient tout simplement pas le rythme pour égaler un Verstappen rampant.
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Bien que Verstappen et Leclerc aient commencé la course près du fond de la grille pour avoir dépassé leur quota d’éléments de l’unité de puissance, P14 et 15 respectivement, Verstappen a pu se frayer un chemin vers la plus haute marche du podium.
Tel était le rythme de sa RB18, il a remporté la course avec 17.841 secondes d’avance sur son coéquipier Red Bull Sergio Perez tandis que Leclerc, qui a dû faire un arrêt au stand imprévu pour retirer une déchirure de visière de son conduit de frein avant droit, était P6.
Quant à Carlos Sainz, il partait de la pole position mais retomba en troisième position.
Le Grand Prix de Belgique n’était qu’une déception de plus dans une longue liste de courses difficiles pour Ferrari cette saison-là avec la Scuderia gâchée par des erreurs de stratégie, des problèmes de fiabilité et quelques accidents des deux pilotes.
À l’opposé, ce dimanche a marqué la neuvième des 14 victoires de Verstappen cette année-là, le Néerlandais remportant le titre au Japon avec quatre courses à perdre.