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La Bulgarie est devenue un point de transit pour entrer en Europe centrale et occidentale par des moyens illicites.
La police bulgare a arrêté 15 passeurs présumés et détenu des centaines de migrants à la suite d’un raid dans tout le pays.
L’opération a été déclenchée après que les autorités ont trouvé 40 migrants, dont des enfants, à l’intérieur d’un camion-citerne spécialement modifié pour transporter des personnes.
Quelque 300 migrants illégaux avec des papiers irréguliers ont également été détenus au cours de la mission de 48 heures.
Les passeurs disposaient de moyens de transport et d’itinéraires « extraordinairement inventifs » pour emmener les migrants en Europe centrale et occidentale, a déclaré le ministère de l’Intérieur du pays.
L’incident survient à la suite de pourparlers en vue d’une éventuelle adhésion de la Bulgarie à Schengen.
Le Parlement européen souhaite que la Bulgarie et la Roumanie fassent partie de la zone sans visa – une décision qui s’est notamment heurtée à la résistance de l’Autriche.
La Bulgarie reste l’un des rares pays de l’UE à ne pas faire partie de l’espace Schengen.
Bien que la Bulgarie maintienne une clôture grillagée à sa frontière avec la Turquie, elle a vu une augmentation du nombre de migrants essayant de traverser la frontière depuis que les talibans ont pris le pouvoir à Kaboul en août 2021.
L’afflux est également alimenté par la politique de son voisin la Turquie, selon Asylum Information Database (AIDA), avec le nombre de demandeurs d’asile presque doubler en 2022.
Human Rights Watch (HRW) accusé le pays de refouler « brutalement » les migrants avec la force européenne de sécurité des frontières Frontex également impliquée à ses frontières.
La police bulgare a été plus dure en l’absence des agents de Frontex, mais l’acte « déshumanisant » s’est poursuivi en leur présence également, selon les témoignages de migrants cités par HRW.
Les procureurs bulgares avaient inculpé six personnes pour la mort de 18 migrants afghans lors d’un incident similaire au début de cette année en février.
Les corps d’Afghans asphyxiés ont été retrouvés dans un véhicule transportant du bois, où quelque 52 migrants ont été « entassés comme dans une boîte de conserve » pendant plusieurs jours.
Les personnes arrêtées ont été condamnées à 15 ans de prison pour homicide involontaire et gestion d’une organisation criminelle de trafic.