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© Reuter. Une puce semi-conductrice d’unité centrale de traitement (CPU) est affichée parmi les drapeaux de la Chine et des États-Unis, dans cette illustration prise le 17 février 2023. REUTERS/Florence Lo/Illustration/photo de fichier
(Reuters) – La Chine a introduit des lignes directrices visant à éliminer progressivement les microprocesseurs américains Intel (NASDAQ 🙂 et AMD (NASDAQ 🙂 des ordinateurs personnels et des serveurs du gouvernement, a rapporté dimanche le Financial Times.
Les directives en matière d’approvisionnement visent également à mettre de côté le système d’exploitation Windows de Microsoft (NASDAQ 🙂 et les logiciels de base de données fabriqués à l’étranger au profit d’options nationales, indique le rapport.
Les agences gouvernementales au-dessus du niveau des communes ont été invitées à inclure des critères exigeant des processeurs et des systèmes d’exploitation « sûrs et fiables » lors de leurs achats, a indiqué le journal.
Le ministère chinois de l’Industrie a publié fin décembre une déclaration contenant trois listes distinctes de processeurs, de systèmes d’exploitation et de bases de données centralisées jugés « sûrs et fiables » pendant trois ans après la date de publication, toutes provenant d’entreprises chinoises, ont montré des vérifications de Reuters.
Intel et AMD n’ont pas immédiatement répondu à la demande de commentaires de Reuters.
Les États-Unis visent à augmenter la production nationale de semi-conducteurs et à réduire leur dépendance à l’égard de la Chine et de Taïwan avec la loi CHIPS and Science Act de 2022 de l’administration Biden.
Il est conçu pour renforcer les semi-conducteurs américains et contient une aide financière à la production nationale ainsi que des subventions pour la production de puces avancées.