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Même si les négociations frontalières se poursuivent entre la Chine et le Bhoutan, le pays communiste redoublerait d’efforts pour construire des villages sur le territoire contesté.
Selon un rapport du South China Morning Post (SCMP), la région autonome du Tibet a poussé l’expansion des villages frontaliers dans la région montagneuse au cours du second semestre 2023. En décembre, le premier groupe de 38 ménages venus du Tibet s’est installé ici. ville de Shigatse.
Au moins trois de ces villages se sont agrandis au cours de l’année dernière, comme le montrent les images satellite capturées par la société américaine Maxar Technologies. L’un des villages a été modifié pour accueillir 230 ménages, contre 70 logements fin 2022.
Selon des responsables cités par le SCMP, ces villageois ont été développés dans le cadre du programme de réduction de la pauvreté mené par l’État chinois, mais ont également servi de « citadelles » pour renforcer la sécurité nationale.
Selon un rapport de financement de 2023, le village de Tamalung a été développé grâce à un financement de 3,6 millions de dollars, l’argent étant consacré au développement de nouvelles maisons, à la construction de deux ponts, au pavage de routes et au renforcement des berges d’un ruisseau.
La réponse du Bhoutan
Le Bhoutan a hésité à dénoncer une incursion chinoise. Le SCMP a rapporté que Thimphu minimisait la controverse.
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Cependant, il a indiqué que le partenaire stratégique le plus proche du Bhoutan et l’autre géant asiatique, l’Inde, accordaient une attention particulière aux développements dans la zone contestée d’environ 495 km² (191 miles carrés).
La Chine utilise les villages comme outil de sécurité nationale
L’implantation de villages sur des frontières contestées est depuis longtemps une politique chinoise visant à affirmer sa domination et son contrôle. Selon le Quotidien du Peuple, porte-parole du gouvernement communiste, la Chine avait créé plus de 620 de ces « villages frontaliers à prospérité modérée » à la fin de 2021.
Les responsables locaux cités par le SCMP ont admis que ces villages aidaient le gouvernement à remplir simultanément deux objectifs : fournir les meilleures installations de logement aux résidents et défendre les frontières.
Le gouvernement central et les gouvernements provinciaux financent de tels projets, certaines sociétés soutenues par l’État jouant également un rôle clé.
Les résidents se voient offrir des incitations
Le rapport indique que les résidents se voient souvent proposer des incitations pour s’installer dans ces villages reculés.
L’année dernière, les autorités tibétaines ont offert jusqu’à 12 800 yuans (1 780 dollars) pour inciter les résidents d’autres parties de la région à se réinstaller dans la zone frontalière, a rapporté le SCMP.
On voit souvent les chefs de village et la police de l’immigration défiler avec des drapeaux chinois et pulvériser des mots et des images comme « Chine » ou le drapeau national chinois sur des pierres et des troncs d’arbres.
(Avec la contribution des agences)