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© Reuters. PHOTO DE FICHIER: Un « jet silencieux » Airbus A320neo atterrit au salon aéronautique ILA de Berlin à Schoenefeld, au sud de Berlin, en Allemagne, le 4 juin 2016. REUTERS / Hannibal Hanschke / File Photo
Par Tim Hepher et Sophie Yu
PARIS/PÉKIN (Reuters) – La Chine et la France étudieront « en temps voulu » le besoin d’avions-cargos et d’avions long-courriers, a annoncé vendredi un communiqué commun à la suite d’une visite d’Etat du président français Emmanuel Macron.
Les commentaires suggèrent une position plus modérée sur la perspective de commandes importantes de gros porteurs Airbus par rapport au modèle moyen-courrier A320neo le plus vendu de l’avionneur, pour lequel il double sa capacité de production en Chine.
« Les deux pays étudieront en temps voulu les besoins en fret et long-courrier des compagnies aériennes chinoises, en fonction de la reprise et du développement du marché et de la flotte du transport aérien chinois », indique le communiqué concluant la visite de Macron à Pékin.
Il s’est également félicité d’un accord autorisant la livraison de 150 A320neo et 10 A350 qu’Airbus avait déjà vendus à la Chine. Aucune nouvelle commande d’avion n’a été annoncée lors de la visite.
Airbus commercialise une version cargo de son avion A350 et souhaite vendre davantage d’avions de passagers à fuselage large à la Chine. Elle y a ouvert un centre de finition A350 en 2021.
Alors que le trafic intérieur a rebondi aux niveaux pré-pandémiques après les fermetures prolongées de COVID-19, le trafic international est à environ 30 % des niveaux de 2019.
On s’attendait à ce que son rival Boeing (NYSE 🙂 obtienne une commande importante pour son gros-porteur 787 avant qu’un refroidissement des relations sino-américaines ne laisse l’avionneur partiellement bloqué hors de Chine.
La demande internationale étant toujours à la traîne du rebond des vols intérieurs, les analystes ont déclaré que les compagnies aériennes avaient le temps d’attendre une éventuelle détente et d’assurer une concurrence maximale avant de faire d’importants choix de flotte long-courrier.
Le communiqué indique également que les régulateurs européens et chinois accéléreront la certification de l’hélicoptère Airbus H175, du jet d’affaires Dassault Aviation 8X et du turbopropulseur Harbin Y12F.
Le H175 a été co-développé par Airbus Helicopters et le conglomérat aérospatial chinois AVIC et est souvent utilisé pour les services d’ambulance ou de police. La version chinoise est certifiée dans le pays, mais la version française n’a pas encore obtenu l’approbation de sécurité chinoise nécessaire avant de pouvoir être exportée vers la Chine.
Airbus Helicopters, le plus grand constructeur d’hélicoptères civils au monde, a annoncé séparément un accord majeur pour son nouveau H160 multi-missions avec la vente de 50 unités au bailleur chinois GDAT.
L’accord a été signé lors de la visite de Macron et est le plus important depuis le lancement de l’hélicoptère, conçu pour des missions telles que le pétrole et le gaz ou l’entretien de parcs éoliens, en 2015.