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Trois partis au Congo-Brazzaville se réunissent pour exposer leurs objectifs pour les élections de 2026 et contester le long règne du président Nguesso.
Trois partis d’opposition en République du Congo se sont réunis pour leur première convention en tant que coalition pour définir les objectifs du groupe avant les élections de 2026 afin qu’ils puissent renverser le président Denis Nguesso, au pouvoir depuis 1997.
L’Alliance pour l’alternance démocratique en 2026 (2AD2026), dont les membres se sont réunis dimanche, est composée du parti Démocratie et développement de l’ancien président Jacques Joachim Yhomby Opango, du Mouvement des républicains et du Parti populaire.
Les partis bénéficient d’un soutien populaire mais n’ont pas de siège au parlement.
« Ce travail nous a permis d’adopter les textes et surtout de nous fixer des objectifs à court, moyen et long terme », a déclaré Destin Gavet, premier président de 2AD2026 et membre du Mouvement des républicains.
Gavet a déclaré que plusieurs recommandations avaient également été faites pour traiter la question des prisonniers politiques, notamment Jean-Marie Michel Mokoko et André Okombi Salissa.
« La libération des prisonniers politiques peut être un moyen d’apaiser le climat politique et surtout de promouvoir la cohésion sociale et l’unité nationale », a-t-il déclaré.
Les deux personnalités de l’opposition ont été reconnues coupables d’atteinte à la sécurité intérieure de l’État après les élections de 2016. Ces scrutins ont été suivis de violences, entraînant la mort de 17 personnes après que l’opposition a accusé Nguesso, qui avait recueilli 67 % des suffrages exprimés, d’avoir truqué le scrutin.
La coalition de l’opposition a été lancée en avril dans le but d’apporter des changements dans un paysage politique dominé par Nguesso.
Le président de 80 ans est sur le point de briguer un cinquième mandat. Il a également été président de 1979 à 1991, perdant aux élections de 1992 avant de revenir cinq ans plus tard.