Customize this title in frenchLa Commission européenne cherche à réglementer l’accès et l’utilisation des données financières

Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 wordsLa Commission européenne élabore de nouvelles règles pour réglementer l’accès et l’utilisation des données des clients dans les services financiers, dans le but d’assurer le contrôle des clients sur les données financières et de permettre aux consommateurs d’accéder à des produits et services personnalisés basés sur les données. Le projet de règlement, qui doit être publié le 28 juin et consulté par EURACTIV, définit les droits et obligations d’accès et de réutilisation des données dans les services financiers, y compris le solde des comptes, divers types d’investissements, les droits à la retraite et l’assurance non-vie. assurance. Elle fixe des exigences pour les utilisateurs de données, les détenteurs et les fournisseurs de services et s’applique aux fournisseurs de services d’informations financières et aux institutions financières telles que les établissements de crédit et de paiement, les entreprises d’investissement, les fournisseurs de services de crypto-actifs, les intermédiaires d’assurance et les agences de notation de crédit. « Les clients des institutions financières, qu’il s’agisse de consommateurs ou d’entreprises, devraient le contrôle de leurs données financières et la possibilité de bénéficier d’un accès ouvert, équitable et sûr l’innovation basée sur les données dans le secteur financier », lit-on dans la proposition. Selon le document, le règlement vise à promouvoir des modèles commerciaux basés sur les données dans le secteur financier de l’UE et à promouvoir des produits et services individualisés basés sur les données, tels que des tableaux de bord d’assurance, des conseils d’investissement personnalisés et des outils de suivi des pensions. Avec le règlement, la Commission vise également à réduire les obstacles au partage de données dans l’ensemble de l’Union. « Un cadre dédié et harmonisé d’accès aux données financières est […] nécessaire au niveau de l’Union pour répondre aux besoins de l’économie numérique et pour supprimer les obstacles au bon fonctionnement du marché intérieur des données », lit-on dans la proposition. Le règlement s’appuie sur la version révisée Directive sur les services de paiement mais permet le partage d’un ensemble plus large de données sur les services financiers au-delà des paiements. Accès, utilisation et partage des données Selon le règlement, les clients auraient le droit d’accéder à leurs données « sans retard injustifié, gratuitement, en continu et en temps réel » et « sur la base d’une simple demande par voie électronique ». De plus, les clients pourront demander aux titulaires de données de partager leurs données avec les utilisateurs de données, qui ne pourront y accéder que dans des conditions convenues avec le client. « Les clients devraient être habilités à décider comment et par qui leurs données financières sont utilisées et autorisés à accorder aux entreprises l’accès à leurs données aux fins d’obtenir des services financiers et d’information s’ils le souhaitent », indique le texte. Pour s’assurer que les clients peuvent gérer leurs données, le règlement demande aux détenteurs de données de mettre en place un tableau de bord d’autorisation facile à trouver et clair, afin que les clients puissent surveiller et gérer les autorisations accordées. Selon le texte, le partage de données n’aurait lieu que dans le cadre de régimes obligatoires de partage de données financières, réunissant les détenteurs de données, les utilisateurs et les organisations de consommateurs. Ces régimes bénéficieraient d’un passeport européen pour opérer dans toute l’Union et fixeraient une compensation «raisonnable» couvrant les coûts des détenteurs de données pour mettre les données à la disposition des utilisateurs. Fournisseurs de services d’informations financières Selon le projet de règlement, pour assurer la protection des consommateurs, l’accès aux données ne sera possible qu’aux institutions financières et aux fournisseurs de services d’informations financières agréés. Ces prestataires devront solliciter une autorisation auprès des autorités nationales compétentes. L’autorisation peut être retirée par les autorités compétentes si elle n’est pas utilisée pendant un certain temps ou en cas de risque pour la protection des consommateurs et la sécurité des données. L’Autorité bancaire européenne (ABE) sera chargée de mettre en place un registre électronique contenant la liste des fournisseurs de services d’informations financières agréés, ainsi que ceux dont l’agrément a été retiré, et les systèmes de partage de données financières en cours et terminés. Surveillance et sanctions Selon le projet de règlement, les États membres devraient mettre en place des autorités compétentes chargées d’appliquer les règles et de mener des enquêtes lorsque les exigences ne sont pas respectées. Les autorités devraient également collaborer avec d’autres autorités nationales compétentes dans les affaires transfrontalières. Les autorités pourraient imposer des sanctions et des pénalités, y compris des amendes administratives, et des sanctions plus sévères en cas d’infractions répétées, et les rendre publiques sur leur site Internet. Selon la proposition de la Commission, les sanctions devraient être proportionnelles à la gravité et à la durée de l’infraction, au degré de responsabilité, à la capacité financière des responsables et aux profits et pertes liés à l’infraction. Partage des données de surveillance Le projet de règlement comprend des dispositions pour le partage volontaire des données obtenues par les autorités nationales compétentes entre elles, qui vise à « éviter les demandes de déclaration en double » et à réduire la charge de déclaration dans l’ensemble de l’Union. La Commission serait responsable de la mise en place d’un point d’information européen unique avec des informations pertinentes pour les autorités compétentes. Cependant, il n’est pas encore clair si les dispositions relatives au partage des données de surveillance figureront dans la proposition finale. Le règlement devrait être présenté par la Commission le 28 juin et sera ensuite négocié par les États membres et le Parlement européen. Il sera directement applicable dès son entrée en vigueur et comprendra un réexamen quatre ans après son entrée en vigueur. * Reportage supplémentaire de Luca Bertuzzi [Edited by János Allenbach-Ammann/Zoran Radosavljevic] En savoir plus avec EURACTIV !function(f,b,e,v,n,t,s) if(f.fbq)return;n=f.fbq=function()n.callMethod? n.callMethod.apply(n,arguments):n.queue.push(arguments); if(!f._fbq)f._fbq=n;n.push=n;n.loaded=!0;n.version=’2.0′; n.queue=[];t=b.createElement(e);t.async=!0; t.src=v;s=b.getElementsByTagName(e)[0]; s.parentNode.insertBefore(t,s)(window, document,’script’, ‘https://connect.facebook.net/en_US/fbevents.js’); fbq(‘init’, ‘307743630704587’); fbq(‘track’, ‘PageView’);

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