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En examinant l’impact de la technologie sur le secteur des télécommunications de l’UE, la Commission européenne a mis par écrit ses réflexions concernant la réglementation des fournisseurs de cloud et une version mise à jour de la taxe sur la part équitable.
La Commission travaille sur un livre blanc intitulé « Construire l’infrastructure numérique de l’Europe de demain », qui doit être publié le 21 février et qui jette les bases d’une large consultation avec des tiers en vue d’une nouvelle loi sur les télécommunications à l’échelle de l’UE au cours du prochain mandat.
Le commissaire au Marché unique, Thierry Breton, a qualifié ce futur acte de « loi sur les réseaux numériques ».
« Les voitures communiquant entre elles, les médecins soignant leurs patients à distance et d’autres applications futures facilitant les affaires et améliorant la vie des citoyens dépendent de la disponibilité d’infrastructures numériques performantes », explique le document de la Commission consulté par Euractiv.
Réglementation des fournisseurs de cloud
Selon la Commission, l’avenir des télécommunications est lié à un processus de « softwarisation », également appelé « cloudification » du marché des télécommunications.
La Commission l’entend comme la convergence des infrastructures cloud et des services de télécommunications. Ce processus « pose la question de savoir si les acteurs […] ne devrait pas tomber sous le coup de règles équivalentes applicables à tous ».
Il indique ensuite que « les changements technologiques récents créent une opportunité d’aligner les opérations de communications électroniques et de services cloud avec le développement des opérateurs de réseaux centraux paneuropéens ».
Une taxe équitable et plus verte
Pour parvenir à cette société reposant sur des services à très faible latence comme la 5G autonome ou la fibre optique, la Commission a calculé que les besoins d’investissement s’élèveront à plus de 200 milliards d’euros, déjà annoncés dans le rapport sur les objectifs de la décennie numérique.
La Commission craint que « les opérateurs de télécommunications soient en mesure de trouver [this amount of] financement », suggérant que la réticence des investisseurs pourrait être due à la fragmentation du marché européen des télécommunications.
C’est pourquoi la Commission fait référence à l’initiative « senders-pay » (ou fair share), selon laquelle les plus gros générateurs de trafic, comme Netflix ou Google, devraient contribuer financièrement à l’entretien des réseaux de télécommunications proportionnellement au trafic qu’ils apportent. .
Par ailleurs, l’exécutif européen déclare qu’« il est essentiel que tous les acteurs de l’écosystème des réseaux numériques […] coopérer pour une utilisation efficace des ressources », citant l’empreinte carbone, la transparence des émissions et l’impact environnemental des paramètres de résolution vidéo.
L’initiative des expéditeurs-payeurs a été principalement soutenue par la France et l’Espagne. Laure de la Raudière, présidente de l’Arcep, l’autorité française de régulation des télécommunications et membre du BEREC, a suggéré dans une interview fin janvier que les Big Tech pourraient être rendues financièrement responsables de leurs activités. son empreinte environnementale induite.
Selon elle, les Big Tech se chargent de paramétrer par défaut le chargement des films en très haute définition pour les plateformes de streaming vidéo comme Netflix ou de charger les vidéos dans le cache pour une lecture automatique fluide pour les réseaux sociaux comme Instagram, TikTok ou YouTube.
Par conséquent, l’augmentation du trafic conduit à acheter de nouveaux terminaux, responsables de 80 % de l’empreinte carbone numérique, selon de la Raudière.
Elle a conclu qu’elle serait désireuse de travailler avec les partenaires de l’UE pour étudier comment ces entreprises pourraient être tenues responsables de ces effets accidentels.
Concentration du marché
La Commission note « une cinquantaine d’opérateurs mobiles et plus de 100 opérateurs fixes dans l’UE » et déplore le manque d’opérateurs européens opérant au-delà des frontières.
La Commission ne suggère pas clairement une déréglementation de la législation européenne sur les télécommunications, mais plutôt une refonte de la législation.
Cependant, cela doit être relativisé avec la recommandation Gigabit du 6 février qui, selon l’expert juridique en télécommunications Innocenzo Genna interrogé par Euractiv, « va dans le sens d’une suppression progressive de la réglementation européenne sur les télécommunications ».
Avec cette recommandation, la Commission fait pression sur les autorités nationales de régulation des télécommunications pour qu’elles « n’appliquent pas de réglementation des prix aux opérateurs sur les réseaux fixes », a déclaré Genna, expliquant que cela va à l’encontre du Code des communications électroniques européen et rendra l’intégration transfrontalière des opérateurs de télécommunications plus facile. Plus fort.
Gouvernance du spectre
Considérant que « la manière dont le spectre est géré et utilisé dans un État membre a un impact sur le marché intérieur dans son ensemble » et qu’elle joue un rôle central dans la future connectivité sans fil, la Commission suggère de renforcer « la coordination au niveau de l’UE du calendrier et des enchères des enchères ». autorisation de nouvelles bandes de fréquences » et l’examen de critères uniformes « pour la coordination des procédures d’autorisation ».
[Edited by Alice Taylor]