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Le gouvernement maltais s’apprête à annoncer lundi la fermeture de la compagnie aérienne nationale Air Malta, après des années de mesures de réduction des coûts, d’allégations de mauvaise gestion et de corruption, mais s’apprête à lancer à sa place une compagnie aérienne à bas prix.
En 2022, Le passage a révélé son intention de dissoudre Air Malta et de transférer ses actifs rentables restants à une nouvelle compagnie aérienne, à l’instar de ce que l’Italie a fait avec Alitalia. Le plan comprend le licenciement de tous les employés d’Air Malta, des pilotes aux agents au sol, ainsi que de nouveaux contrats basés sur les conditions actuelles du marché, c’est-à-dire des salaires et des avantages inférieurs.
En 2012, après deux années de négociations, Bruxelles avait autorisé le gouvernement à injecter quelque 130 millions d’euros d’aide d’État dans Air Malta à condition qu’un exercice de restructuration soit conclu d’ici 2015 et qu’aucune autre intervention gouvernementale ne soit nécessaire.
Malgré quelques restructurations, l’entreprise a continué à enregistrer des pertes massives, la plaçant dans un scénario de faillite inévitable si aucune intervention de l’État n’est accordée prochainement.
Malte était en négociations avec l’UE pour sauver une fois de plus la compagnie aérienne, demandant plus de 290 millions d’euros de fonds pour l’empêcher de faire faillite.
Conformément aux règles strictes de l’UE visant à préserver la concurrence entre les compagnies aériennes européennes, les compagnies ne peuvent accorder une aide d’État qu’une fois tous les dix ans, selon le principe du « principe unique, de la dernière fois ».
Ainsi, compte tenu des années de mauvaise gestion et de conditions changeantes du marché, Bruxelles a annulé l’accord, et le plan révélé pour la première fois en 2022 va désormais se poursuivre.
En prévision de l’annonce de lundi, du personnel a déjà été licencié et une restructuration a eu lieu pour réduire les pertes supplémentaires. Des centaines de millions d’euros provenant de l’argent des contribuables ont été utilisés pour des indemnités de départ, des plans de retraite volontaire et de nouveaux emplois permanents dans d’autres institutions gouvernementales. Les activités d’assistance en escale ont également été vendues.
Afin de garder secrète l’ampleur de la situation, le gouvernement n’a pas publié les comptes des compagnies aériennes publiques depuis 2018.
De plus, en 2023, il a été révélé que l’ancien président d’Air Malta, David Curmi, avait reçu quelque 774 000 € de la part du gouvernement, plutôt que de la compagnie, sur trois ans, alors qu’Air Malta était déjà dans une situation désespérée.
Cela a conduit Bruxelles à un examen minutieux de son contrat et de sa légalité en raison des craintes de violation des règles en matière d’aides d’État. Des sources ont dit Le passage que le président devrait être payé par l’entreprise et non par le gouvernement, car une telle somme pourrait être considérée comme une aide d’État.
La dissolution d’Air Malta et la création d’une nouvelle entité devraient coûter au moins 300 millions d’euros aux contribuables. Cela arrive à un moment où la dette nationale atteint un niveau record et est également scrutée de près par Bruxelles en raison de son déficit.
Les clients ayant réservé des vols d’Air Malta au-delà du jour de la dissolution obtiendront soit un remboursement de leurs billets, soit se verront offrir la possibilité de voyager avec la nouvelle compagnie aérienne. Mais toutes les routes actuelles ne seront pas desservies par la nouvelle compagnie aérienne : pour obtenir l’approbation de l’UE, la compagnie de remplacement devra démontrer qu’elle est un opérateur économique distinct et pas simplement un successeur d’Air Malta.
(Alice Taylor | Theshiftnews.com)